lundi 2 février 2009

Swing life away de Rise Against

Je suis songeur, j'ai passé un autre excellent week-end, est-ce que j'ai fait exactement ce que je voulais? J'ai passé du temps de qualité, comme à tout les weekend, j'aime les amis qui m'entourent, j'aime rencontrer des nouveaux gens, je fais de bonnes et de mauvaises rencontre comme tout le monde, je redécouvre la société. J'ai toujours l'envi de sortir, ça va vraiment bien, Merci^^.

.(L')
Le lourd son que la porte a fait lorsqu'elle c'est fermé derrière moi, la lumière vibrante de ma salle de bain me donne un léger mal de tête, je prends le temps de voir ce qui est autour de moi, à quel point je laisse aller la saleté se répandre sur les murs de cette pièce en céramique. C'est tout petit, devant moi j'ai le mirroir contenant tout mes produits pharmaceutique, se résumant à un pot de Tylenol et un bâton d'antisudorifique, quand je referme le mirroir, je me regarde profondément dans les yeux, qui sont attaqué par les cernes, je me retourne face à mon bain, je me rappele de sa couleur blanche laiteuse qui m'avait fait vibrer la première fois que je l'ai vu, maintenant je me sens plongé dans un univers post-apocalyptique quand je le regarde, d'un ton de blanc, il est devenu d'un ton de brun, je me demande ce qui serait le plus simple, l'échanger pour un neuf ou le frotter... Je pars l'eau chaude, je mets le bouchon au fond, la chaine n'est plus accroché nulle part. Le fait d'habiter en haut d'un dépanneur à beaucoup d'avantage, en appelant le commis, j'ai fait monté une caisse de bière légère, un rasoir et un savon aux parfums fleuries. Le temps que mon bain se remplisse, le commis cogne à la porte, sans dire un mot je prends le sac qui pends au bout de son bras et je le renvois en bas. Je me dévêtie hâtivement, je pénètre dans l'eau trop chaude de ma baignoire, je laisse agir l'eau pendant un instant, je sors la barre de savon de sa prison de carton, encore une fois je me regarde à travers l'eau déjà grisonnante, parsemé de petits nuages blancs, je laisse le savon agir, je sors un des 4 rasoirs jetable que le petit commis m'as apporté. Je sens que je ne vais pas aimé la suite...

.(Je)

La lourdeur de tout ce qui m'entoure, je me sens oppressé par les arbres, ils veulent que je me couche et que je dorme, je veux toujours faire le prochain pas, je vais m'en sortir. "Mon amour". J'entends à travers les arbres une femme qui m'appelle, une voix qui me ferait dévié de mon chemin, qu'est-ce qui ce passe, est-ce que je vais voir? La simplicité, je sors du chemin sans vraiment le vouloir, je ne vois pas plus loin que tout à l'heure, mais au moins je peux suivre quelque chose... ou quelqu'un.

.(Tu)

On m'a amené d'urgence dans le couloir, j'ai entendu des BIP assourdissants, j'entends son corps frappé violement son matelas, le médecin est concentré au-dessus de lui, je ne veux pas te perdre. Sauvé-le.
.(Je)
Une petite clairière m'entoure, un rayon de lumière frappe le dos d'une femme voutée au-dessus du lit, je m'avance tranquillement. "Reviens mon amour" Mais c'est ce que je fais, je veux revenir. Une douleur envahi ma poitrine, je pose un genou sur le sol, main sur le coeur, j'aggripe le bas de la robe de cette femme. À mon étonnement, elle disparais en poussière, je ne peux plus reculer, je m'écrase sur le sol. Une voix derrière moi m'interpelle. "Besoin d'aide, mon garçon?"

Bon, je viens de recevoir mon travail que je dois complèter avant mercredi. 7 pages de pur plaisir, j'ai vraiment l'impression qu'on me prends pour un débile. Allé voir mon blog d'opinion, il devrait y avoir un autre article aujourd'hui.

~Dragow~ et si je te disais, je t'aime?

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