Fermeture de ce blog, pour des raisons personnel.
Je suis désolé.
lundi 14 décembre 2009
jeudi 2 juillet 2009
Sad Song de Oasis
*Cough**cough*, c'est pénible les allergies, j'ai les yeux boursoufflés et j'arrête plus de tousser... C'est la merde... Bon! On vient de passer à travers la journée du Canada, j'ai écouté un discours assé emmerdant de notre premier ministre, au moins ma copine était là, j'ai pu survivre à travers ça! À part ça... bin... Je travaille super fort pour me bâtir mon petit avenir, GO MAGIKARP!(Oulala je me sens vieux tout d'un coup :P)
.(L')
Je ne ferai jamais d'erreur, tout ce qui me restera à accomplir... c'est tout! J'aurai l'impression de n'avoir jamais rien accompli. Alors les jours se rallongeront, je ne te verai presque plus, déjà, tu reprendra ta liberté, tu repartira avec elle, tu me laissera seule, ici, dans le vent le froid... Je ne mériterai pas ça.
"NON!"
Dans son appartement, une vitre se brisa sans raison ce jour là
.(Elle)
Déjà, aux nouvelles ils en parlent. Nous ne croyons pas vraiment que ça aurait pu arriver pendant notre vivant. Nous faisons quelques pas vers la cuisine, l'air vibre encore près de nous, ils sont arriver à Montréal, faisant vombrir notre air, je dépose une main sur mon ventre
"C'est bientôt mon tour"
Une lumière brilla pendant la nuit, sous sa couette...
.(Je)
J'ai passé quelque temps déjà pour comprendre, ça ne faisait pas si longtemps ça que je dormais. J'était assis derrière mon ordinateur, entrain d'écrire quelques lignes sur les évenements qui c'étaient passés dernièrement, et j'avais eu cette drôle de sensation... Comme si quelque chose était près de moi, entrain de me regarder.
"Je sais que tu es là..."
On ne retrouva jamais le chat depuis cette soirée là...
.(Tu)
Ils viennent de où? Comme si je connaissais l'endroit, comme si tout le monde connaissait l'endroit! Est-ce que je suis si stupide que ça? Ils m'intriguent, ils n'ont pas la même couleur que nous, ils n'ont pas les mêmes habitudes que nous... Je regarde, tranquillement ces petits cheveux blonds voleter, il sourit! C'est la première fois, il ouvre les yeux, j'ai vraiment l'impression qu'il me regarde...
"Viens voir, il sourit!!"
Et une fois de plus, la nuit fut courte pour eux deux...
Bon! Ayoye! Je crois que je vais arriver à quelque chose! Je vous avertis, mon but présentement est d'amener le bébé à l'âge de 14 ans le plus tôt possible! Donc, dans les prochains textes on va avoir le droit à un petit résumé de tout . J'ai déjà une bonne idées pour "une chaleur hallucinogène" ça consumme pas mal de mes inspirations!
Rahlala!
Je vous adore chers lecteur!
Je t'aime mon ange
~Dragow~
n'oubliez pas de sourire!
.(L')
Je ne ferai jamais d'erreur, tout ce qui me restera à accomplir... c'est tout! J'aurai l'impression de n'avoir jamais rien accompli. Alors les jours se rallongeront, je ne te verai presque plus, déjà, tu reprendra ta liberté, tu repartira avec elle, tu me laissera seule, ici, dans le vent le froid... Je ne mériterai pas ça.
"NON!"
Dans son appartement, une vitre se brisa sans raison ce jour là
.(Elle)
Déjà, aux nouvelles ils en parlent. Nous ne croyons pas vraiment que ça aurait pu arriver pendant notre vivant. Nous faisons quelques pas vers la cuisine, l'air vibre encore près de nous, ils sont arriver à Montréal, faisant vombrir notre air, je dépose une main sur mon ventre
"C'est bientôt mon tour"
Une lumière brilla pendant la nuit, sous sa couette...
.(Je)
J'ai passé quelque temps déjà pour comprendre, ça ne faisait pas si longtemps ça que je dormais. J'était assis derrière mon ordinateur, entrain d'écrire quelques lignes sur les évenements qui c'étaient passés dernièrement, et j'avais eu cette drôle de sensation... Comme si quelque chose était près de moi, entrain de me regarder.
"Je sais que tu es là..."
On ne retrouva jamais le chat depuis cette soirée là...
.(Tu)
Ils viennent de où? Comme si je connaissais l'endroit, comme si tout le monde connaissait l'endroit! Est-ce que je suis si stupide que ça? Ils m'intriguent, ils n'ont pas la même couleur que nous, ils n'ont pas les mêmes habitudes que nous... Je regarde, tranquillement ces petits cheveux blonds voleter, il sourit! C'est la première fois, il ouvre les yeux, j'ai vraiment l'impression qu'il me regarde...
"Viens voir, il sourit!!"
Et une fois de plus, la nuit fut courte pour eux deux...
Bon! Ayoye! Je crois que je vais arriver à quelque chose! Je vous avertis, mon but présentement est d'amener le bébé à l'âge de 14 ans le plus tôt possible! Donc, dans les prochains textes on va avoir le droit à un petit résumé de tout . J'ai déjà une bonne idées pour "une chaleur hallucinogène" ça consumme pas mal de mes inspirations!
Rahlala!
Je vous adore chers lecteur!
Je t'aime mon ange
~Dragow~
n'oubliez pas de sourire!
mercredi 24 juin 2009
La Basse-cour de Mes Aïeux
Et voilà le 24 juin est arrivé... C'est fou comment le temps passe vite vous trouvez pas? Bon, malgré la maigre demande que je remette à jour les aventures de Je et Tu, je le fais pareil. J'ai quelques idées que je devais de toute façon mettre sur papier numérique! Bon, qu'avez-vous ou qu'allez-vous faire pour la saint-Jean? moi, hier, j'ai été dans ma ville pour voir un spectacle d'un grand groupe folk qu'on connait bien et regarder des feux d'artifices. On a aussi eu le droit à des discours patriotique que les présidents de comités lugubres et le maire de ma ville avaient concocté juste pour nous... Terriblement passionnant... J'aime le Québec, j'aime ma patrie et mon patrimoine, tout mon entourage l'aime autant, ou presque, que moi et... Tout nos dirigeants, tout ceux qui disent être notre tête pensante... c'est tellement... tellement désolant de voir que pour eux le capitalisme égal le Québec... Mais bon, hey! J'ai passé une belle soirée avec mon meilleur ami et ma copine! Allez... place...
.(Je)
Une forêt dense, c'est ce dont je me rappelais. Une forêt qui changeait tout au long de ma promenade. J'avais l'impression d'avoir été arraché d'un monde, qui n'était pas si différent de ce qui nous entoure. L'infirmière était affolée près de moi, elle hurlait dans une langue que je comprenais pas, comme si elle ne mettait que des voyelles dans ces mots... Très étrange. Je n'avais pas eu le temps de rien dire et déjà un docteur c'était attaqué à mes yeux avec un faisceau de lumière blanchâtre, est-ce que vraiment je méritais ça? Je regardais alentours de moi, je cherchais celle que j'ai cherchée dans cette forêt, je regardais l'infirmière, je soulevais ma main gauche et hausse une épaule et je déposais ma main sur mon cœur... criant voulant savoir tout ce qui c'était passé. L'infirmière qui était tout à mon attention appuya sur un interrupteur près du lit et le visage de celle que j'aime apparu, un peu de côté, elle semblait tellement souffrir. L'écran lumineux qui flottait près de moi, me laissant voir le plus beau moment de ma vie, semblait..si fade, si inanimé.. Je tendais ma main vers l'écran, elle vibrait, tout ce que j'aurais fait pour pouvoir me mettre debout. Je repoussa le docteur avec l'autre bras, j'avançais mon torse vers l'écran, et tout d'un coup tu me regarda...
"-Chéri! AAH! Viens ici! On a besoin de toi!"
.(Tu)
Il s'est réveillé, mon amour est là... dépêche toi, j'ai tellement mal, j'étais si perdue sans toi. La femme qui s'occupe de moi me dit de me détendre, qu'il faut éviter les complications, que tout allait si bien se passé. Pourquoi je n'ai pas l'impression maintenant que c'est le plus beau moment de ma vie... ? Je pousse, ça tire, je crois même que ça déchire, mais tout ça me fait tellement mal, il faut que tout aille bien, dépêche toi, on dirait qu'il ne veut pas t'attendre.
.(L')
Je serai juste à l'extérieur de la chambre quand il va se réveiller, je serai là pour lui et pour elle. Encore une fois aujourd'hui j'aurai un mal de tête, tellement intense que je crois que la dernière fois j'en aurais fais tremblé les murs, qu'est-ce qui se passera? Plus rien sera sous notre contrôle, mais pourquoi. Je marcherai vers l'hopital, avec encore une fois la pluie qui battera mon visage. Je rentrerai dans sa chambre, l'aiderai avec sa chaise roulante et on ira voir son nouvel enfant. Est-ce que quelque chose pourrait mal se passer?
Le premier qui trouve les changements majeurs que j'ai fait en regardant mes textes gagnent... eee... un mot dans mon prochain billet :P. Bon, je vous dis comment ça va se passer, pour l'instant je vais essayer d'aligner un texte par semaine et, bon quelques-uns les savent déjà, je vais commencer un nouveau blog-histoire que j'appelerai, "Une chaleur hallucinogène", quelque chose de post-apocalyptique, centré dans l'univers québécois. J'espère que tout le monde va aimer ça, moi je vais préparer ma soirée pour la Saint-Jean.
Longue vie aux Patriotes!
Longue vie aux Québécois!
Le Québec est grand et fort!
Venez nous rejoindre, Montréal crit comme une femme qui veut son homme.
~Dragow~
.(Je)
Une forêt dense, c'est ce dont je me rappelais. Une forêt qui changeait tout au long de ma promenade. J'avais l'impression d'avoir été arraché d'un monde, qui n'était pas si différent de ce qui nous entoure. L'infirmière était affolée près de moi, elle hurlait dans une langue que je comprenais pas, comme si elle ne mettait que des voyelles dans ces mots... Très étrange. Je n'avais pas eu le temps de rien dire et déjà un docteur c'était attaqué à mes yeux avec un faisceau de lumière blanchâtre, est-ce que vraiment je méritais ça? Je regardais alentours de moi, je cherchais celle que j'ai cherchée dans cette forêt, je regardais l'infirmière, je soulevais ma main gauche et hausse une épaule et je déposais ma main sur mon cœur... criant voulant savoir tout ce qui c'était passé. L'infirmière qui était tout à mon attention appuya sur un interrupteur près du lit et le visage de celle que j'aime apparu, un peu de côté, elle semblait tellement souffrir. L'écran lumineux qui flottait près de moi, me laissant voir le plus beau moment de ma vie, semblait..si fade, si inanimé.. Je tendais ma main vers l'écran, elle vibrait, tout ce que j'aurais fait pour pouvoir me mettre debout. Je repoussa le docteur avec l'autre bras, j'avançais mon torse vers l'écran, et tout d'un coup tu me regarda...
"-Chéri! AAH! Viens ici! On a besoin de toi!"
.(Tu)
Il s'est réveillé, mon amour est là... dépêche toi, j'ai tellement mal, j'étais si perdue sans toi. La femme qui s'occupe de moi me dit de me détendre, qu'il faut éviter les complications, que tout allait si bien se passé. Pourquoi je n'ai pas l'impression maintenant que c'est le plus beau moment de ma vie... ? Je pousse, ça tire, je crois même que ça déchire, mais tout ça me fait tellement mal, il faut que tout aille bien, dépêche toi, on dirait qu'il ne veut pas t'attendre.
.(L')
Je serai juste à l'extérieur de la chambre quand il va se réveiller, je serai là pour lui et pour elle. Encore une fois aujourd'hui j'aurai un mal de tête, tellement intense que je crois que la dernière fois j'en aurais fais tremblé les murs, qu'est-ce qui se passera? Plus rien sera sous notre contrôle, mais pourquoi. Je marcherai vers l'hopital, avec encore une fois la pluie qui battera mon visage. Je rentrerai dans sa chambre, l'aiderai avec sa chaise roulante et on ira voir son nouvel enfant. Est-ce que quelque chose pourrait mal se passer?
Le premier qui trouve les changements majeurs que j'ai fait en regardant mes textes gagnent... eee... un mot dans mon prochain billet :P. Bon, je vous dis comment ça va se passer, pour l'instant je vais essayer d'aligner un texte par semaine et, bon quelques-uns les savent déjà, je vais commencer un nouveau blog-histoire que j'appelerai, "Une chaleur hallucinogène", quelque chose de post-apocalyptique, centré dans l'univers québécois. J'espère que tout le monde va aimer ça, moi je vais préparer ma soirée pour la Saint-Jean.
Longue vie aux Patriotes!
Longue vie aux Québécois!
Le Québec est grand et fort!
Venez nous rejoindre, Montréal crit comme une femme qui veut son homme.
~Dragow~
dimanche 24 mai 2009
Quelques mois on passé
La neige a fondu, un nouvel amour est né...
J'ai pas arrêté d'écrire, je prenais juste tout mon temps pour bien finir mes dernières semaines de cours... Maintenant, je suis officiellement devenu soutien au réseau. Plus qu'à trouver un meilleur emploi que commis de dépanneur vous trouvez pas?
Les aventures de Je et Tu vont recommencer... d'ici la fin du mois de Juin, je vais me mettre des gros coups de pieds au derrière(ou ma copine va le faire) et je vais vous écrire une suite... Je va bien reprendre connaissance un jour :P.
Allé... je continu d'écrire, inquiéter vous pas. C'est bientôt fini l'attente.
J'ai pas arrêté d'écrire, je prenais juste tout mon temps pour bien finir mes dernières semaines de cours... Maintenant, je suis officiellement devenu soutien au réseau. Plus qu'à trouver un meilleur emploi que commis de dépanneur vous trouvez pas?
Les aventures de Je et Tu vont recommencer... d'ici la fin du mois de Juin, je vais me mettre des gros coups de pieds au derrière(ou ma copine va le faire) et je vais vous écrire une suite... Je va bien reprendre connaissance un jour :P.
Allé... je continu d'écrire, inquiéter vous pas. C'est bientôt fini l'attente.
mercredi 18 février 2009
Suspend
Je mets le blog en suspend pour une durée indéterminé...
Je vous reviens avec tout plus tard, pour les nouveaux qui arrivent, lisez du début, laissez-y vos commentaires, en attendant que je revienne=p.
~Dragow~
Je vous reviens avec tout plus tard, pour les nouveaux qui arrivent, lisez du début, laissez-y vos commentaires, en attendant que je revienne=p.
~Dragow~
lundi 9 février 2009
Hooverphonic - Human Interest
Mon mp3 a brisé, maintenant j'écoute la radio... c'est assé bizzare comme ça, rajouter pas de commentaire sur le titre des billet... Vive le printemps, l'hiver sa me tape sur le système, c'est pas intéressant l'hiver si tu ne peux pas te battre dans la neige avec l'être aimée ^^. Bon, pour une raison très claire pour moi, je suis très heureux d'être dans ma peau depuis quelques jours. Disons que j'ai passé plus de temps à pensé qu'a croire... Si vous pouvez comprendre ... expliquez moi ce que je viens de dire...
.(Je)
La douleur c'est attenué, un homme portant un costume-cravate cendré c'est approché de moi, sortant de je ne sais où, il a commencé à me parler, il a tenté de me charmer à travers ces atours.
"Je ne peux vous gardez plus longtemps ici. Laissez moi vous présentez ce contrat, tout ce que vous avez à y faire, c'est de signer tout en bas pour rejoindre votre douce dans ce chateau au loin qui vous attends"
Le papier qu'il ma donné est chaud au touché, j'essaie de lire ce qu'il y est écrit mais l'écriture semble vouloir se battre ensemble, les voyelles contre les consonnes, rien n'est précis. Il me tends un stylo-bille, il relève un sourcil.
"Alors?"
Je dépose le crayon sur le papier, je roule celui-ci comme un parchemin, je le tends à ce que je considère être le démon, le remercie de l'intention. En me retournant, je le remercie d'avoir arrêté la douleur, je ne prendrai pas la voie de la facilité, mon amour pour toi est indestructible, chaque effort que je mets à venir te rejoindre ne peux que le rendre plus fort.
.(Tu)
J'ai tentée de te prendre la main avant qu'il ne m'expulse de la chambre, rien ne c'est produit comme il le faut. Je suis addossée au mur qui sépare le corridor de ta chambre, tout est si tranquille de ce côté, je laisse mon coeur pleurer, j'ai la tête enfoui entre mes genoux, je ne peux juste pas ignorer ce qui se passe.
"Ça va pas?"
Un jeune garçon c'est placé devant moi, les yeux grand ouverts rempli de compassion, je lui réponds que celui que j'aime essaye de rester en vie, dans un combat épique que juste lui pourrait accomplir.
"Et si vous pourriez l'aidez?"
Le garçon me demandait ces question si simples mais tellement lourdes, bien sùr je lui réponds que je pourrais tout faire pour lui.
"Même donné votre bébé?"
Je le regarde, les yeux ronds, je ne sais pas si je devrais être fachée ou surprise de la profondeur de ces propos, en toute insignifiance je lui réponds que sa ne se passe pas comme ça dans la vie, que tout arrive pour une raison.
"Vous ne répondez pas à ma question"
Que me veut-il? Je lui réponds que dans le choix, je sauverais l'homme que j'aime, mais que jamais je ne pourrais me départir de mon enfant.
"Bien alors, je vais rejoindre mon papa."
L'enfant, le sourire au lèvre, rentre dans la chambre voisine. Dès qu'il a tourné le coin, les docteurs ouvrent la porte, ils m'annoncent que tu va mieux, que le pire est passé.
Bon! une semaine de retard, je vais lancée la faute sur quelqu'un d'autre, mais je vais taire son nom, disons.. que j'ai l'esprit occupé ^^.
J'espère que la direction que l'histoire prends vous fait vibrer, moi je continue à travailler alors .
~Dragow~ Allé à plus!
.(Je)
La douleur c'est attenué, un homme portant un costume-cravate cendré c'est approché de moi, sortant de je ne sais où, il a commencé à me parler, il a tenté de me charmer à travers ces atours.
"Je ne peux vous gardez plus longtemps ici. Laissez moi vous présentez ce contrat, tout ce que vous avez à y faire, c'est de signer tout en bas pour rejoindre votre douce dans ce chateau au loin qui vous attends"
Le papier qu'il ma donné est chaud au touché, j'essaie de lire ce qu'il y est écrit mais l'écriture semble vouloir se battre ensemble, les voyelles contre les consonnes, rien n'est précis. Il me tends un stylo-bille, il relève un sourcil.
"Alors?"
Je dépose le crayon sur le papier, je roule celui-ci comme un parchemin, je le tends à ce que je considère être le démon, le remercie de l'intention. En me retournant, je le remercie d'avoir arrêté la douleur, je ne prendrai pas la voie de la facilité, mon amour pour toi est indestructible, chaque effort que je mets à venir te rejoindre ne peux que le rendre plus fort.
.(Tu)
J'ai tentée de te prendre la main avant qu'il ne m'expulse de la chambre, rien ne c'est produit comme il le faut. Je suis addossée au mur qui sépare le corridor de ta chambre, tout est si tranquille de ce côté, je laisse mon coeur pleurer, j'ai la tête enfoui entre mes genoux, je ne peux juste pas ignorer ce qui se passe.
"Ça va pas?"
Un jeune garçon c'est placé devant moi, les yeux grand ouverts rempli de compassion, je lui réponds que celui que j'aime essaye de rester en vie, dans un combat épique que juste lui pourrait accomplir.
"Et si vous pourriez l'aidez?"
Le garçon me demandait ces question si simples mais tellement lourdes, bien sùr je lui réponds que je pourrais tout faire pour lui.
"Même donné votre bébé?"
Je le regarde, les yeux ronds, je ne sais pas si je devrais être fachée ou surprise de la profondeur de ces propos, en toute insignifiance je lui réponds que sa ne se passe pas comme ça dans la vie, que tout arrive pour une raison.
"Vous ne répondez pas à ma question"
Que me veut-il? Je lui réponds que dans le choix, je sauverais l'homme que j'aime, mais que jamais je ne pourrais me départir de mon enfant.
"Bien alors, je vais rejoindre mon papa."
L'enfant, le sourire au lèvre, rentre dans la chambre voisine. Dès qu'il a tourné le coin, les docteurs ouvrent la porte, ils m'annoncent que tu va mieux, que le pire est passé.
Bon! une semaine de retard, je vais lancée la faute sur quelqu'un d'autre, mais je vais taire son nom, disons.. que j'ai l'esprit occupé ^^.
J'espère que la direction que l'histoire prends vous fait vibrer, moi je continue à travailler alors .
~Dragow~ Allé à plus!
lundi 2 février 2009
Swing life away de Rise Against
Je suis songeur, j'ai passé un autre excellent week-end, est-ce que j'ai fait exactement ce que je voulais? J'ai passé du temps de qualité, comme à tout les weekend, j'aime les amis qui m'entourent, j'aime rencontrer des nouveaux gens, je fais de bonnes et de mauvaises rencontre comme tout le monde, je redécouvre la société. J'ai toujours l'envi de sortir, ça va vraiment bien, Merci^^.
.(L')
Le lourd son que la porte a fait lorsqu'elle c'est fermé derrière moi, la lumière vibrante de ma salle de bain me donne un léger mal de tête, je prends le temps de voir ce qui est autour de moi, à quel point je laisse aller la saleté se répandre sur les murs de cette pièce en céramique. C'est tout petit, devant moi j'ai le mirroir contenant tout mes produits pharmaceutique, se résumant à un pot de Tylenol et un bâton d'antisudorifique, quand je referme le mirroir, je me regarde profondément dans les yeux, qui sont attaqué par les cernes, je me retourne face à mon bain, je me rappele de sa couleur blanche laiteuse qui m'avait fait vibrer la première fois que je l'ai vu, maintenant je me sens plongé dans un univers post-apocalyptique quand je le regarde, d'un ton de blanc, il est devenu d'un ton de brun, je me demande ce qui serait le plus simple, l'échanger pour un neuf ou le frotter... Je pars l'eau chaude, je mets le bouchon au fond, la chaine n'est plus accroché nulle part. Le fait d'habiter en haut d'un dépanneur à beaucoup d'avantage, en appelant le commis, j'ai fait monté une caisse de bière légère, un rasoir et un savon aux parfums fleuries. Le temps que mon bain se remplisse, le commis cogne à la porte, sans dire un mot je prends le sac qui pends au bout de son bras et je le renvois en bas. Je me dévêtie hâtivement, je pénètre dans l'eau trop chaude de ma baignoire, je laisse agir l'eau pendant un instant, je sors la barre de savon de sa prison de carton, encore une fois je me regarde à travers l'eau déjà grisonnante, parsemé de petits nuages blancs, je laisse le savon agir, je sors un des 4 rasoirs jetable que le petit commis m'as apporté. Je sens que je ne vais pas aimé la suite...
.(Je)
La lourdeur de tout ce qui m'entoure, je me sens oppressé par les arbres, ils veulent que je me couche et que je dorme, je veux toujours faire le prochain pas, je vais m'en sortir. "Mon amour". J'entends à travers les arbres une femme qui m'appelle, une voix qui me ferait dévié de mon chemin, qu'est-ce qui ce passe, est-ce que je vais voir? La simplicité, je sors du chemin sans vraiment le vouloir, je ne vois pas plus loin que tout à l'heure, mais au moins je peux suivre quelque chose... ou quelqu'un.
.(Tu)
On m'a amené d'urgence dans le couloir, j'ai entendu des BIP assourdissants, j'entends son corps frappé violement son matelas, le médecin est concentré au-dessus de lui, je ne veux pas te perdre. Sauvé-le.
.(Je)
Une petite clairière m'entoure, un rayon de lumière frappe le dos d'une femme voutée au-dessus du lit, je m'avance tranquillement. "Reviens mon amour" Mais c'est ce que je fais, je veux revenir. Une douleur envahi ma poitrine, je pose un genou sur le sol, main sur le coeur, j'aggripe le bas de la robe de cette femme. À mon étonnement, elle disparais en poussière, je ne peux plus reculer, je m'écrase sur le sol. Une voix derrière moi m'interpelle. "Besoin d'aide, mon garçon?"
Bon, je viens de recevoir mon travail que je dois complèter avant mercredi. 7 pages de pur plaisir, j'ai vraiment l'impression qu'on me prends pour un débile. Allé voir mon blog d'opinion, il devrait y avoir un autre article aujourd'hui.
~Dragow~ et si je te disais, je t'aime?
.(L')
Le lourd son que la porte a fait lorsqu'elle c'est fermé derrière moi, la lumière vibrante de ma salle de bain me donne un léger mal de tête, je prends le temps de voir ce qui est autour de moi, à quel point je laisse aller la saleté se répandre sur les murs de cette pièce en céramique. C'est tout petit, devant moi j'ai le mirroir contenant tout mes produits pharmaceutique, se résumant à un pot de Tylenol et un bâton d'antisudorifique, quand je referme le mirroir, je me regarde profondément dans les yeux, qui sont attaqué par les cernes, je me retourne face à mon bain, je me rappele de sa couleur blanche laiteuse qui m'avait fait vibrer la première fois que je l'ai vu, maintenant je me sens plongé dans un univers post-apocalyptique quand je le regarde, d'un ton de blanc, il est devenu d'un ton de brun, je me demande ce qui serait le plus simple, l'échanger pour un neuf ou le frotter... Je pars l'eau chaude, je mets le bouchon au fond, la chaine n'est plus accroché nulle part. Le fait d'habiter en haut d'un dépanneur à beaucoup d'avantage, en appelant le commis, j'ai fait monté une caisse de bière légère, un rasoir et un savon aux parfums fleuries. Le temps que mon bain se remplisse, le commis cogne à la porte, sans dire un mot je prends le sac qui pends au bout de son bras et je le renvois en bas. Je me dévêtie hâtivement, je pénètre dans l'eau trop chaude de ma baignoire, je laisse agir l'eau pendant un instant, je sors la barre de savon de sa prison de carton, encore une fois je me regarde à travers l'eau déjà grisonnante, parsemé de petits nuages blancs, je laisse le savon agir, je sors un des 4 rasoirs jetable que le petit commis m'as apporté. Je sens que je ne vais pas aimé la suite...
.(Je)
La lourdeur de tout ce qui m'entoure, je me sens oppressé par les arbres, ils veulent que je me couche et que je dorme, je veux toujours faire le prochain pas, je vais m'en sortir. "Mon amour". J'entends à travers les arbres une femme qui m'appelle, une voix qui me ferait dévié de mon chemin, qu'est-ce qui ce passe, est-ce que je vais voir? La simplicité, je sors du chemin sans vraiment le vouloir, je ne vois pas plus loin que tout à l'heure, mais au moins je peux suivre quelque chose... ou quelqu'un.
.(Tu)
On m'a amené d'urgence dans le couloir, j'ai entendu des BIP assourdissants, j'entends son corps frappé violement son matelas, le médecin est concentré au-dessus de lui, je ne veux pas te perdre. Sauvé-le.
.(Je)
Une petite clairière m'entoure, un rayon de lumière frappe le dos d'une femme voutée au-dessus du lit, je m'avance tranquillement. "Reviens mon amour" Mais c'est ce que je fais, je veux revenir. Une douleur envahi ma poitrine, je pose un genou sur le sol, main sur le coeur, j'aggripe le bas de la robe de cette femme. À mon étonnement, elle disparais en poussière, je ne peux plus reculer, je m'écrase sur le sol. Une voix derrière moi m'interpelle. "Besoin d'aide, mon garçon?"
Bon, je viens de recevoir mon travail que je dois complèter avant mercredi. 7 pages de pur plaisir, j'ai vraiment l'impression qu'on me prends pour un débile. Allé voir mon blog d'opinion, il devrait y avoir un autre article aujourd'hui.
~Dragow~ et si je te disais, je t'aime?
vendredi 30 janvier 2009
Creep de Muse(excellent Cover)
Bonjour tout le monde, j'ai pas écrit de la semaine, quand je suis malade c'est ça que sa donne, aujourd'hui je suis de retour devant mon l'éditeur de texte de mon blogue pour vous écrire quelques lignes. Je ne m'étendrai pas dans de longs discours, je dois m'excuser que le double texte ne se pourra pas aujourd'hui, l'école est plus demandante que d'habitude, on a eu la visite d'un conférencier, suffit les excuses, c'est de ma faute quand même si on a pas trois textes. Je vous aime pareil ^^.
.(L')
Nier, c'est ce que je fais de mieux, avec tout les gens qui sont près de moi, qu'ils soient virtuel ou réel, je nie complètement mon existence, je m'en rends compte, c'est bien, j'ai trouver mon problème, je ne veux pas trouver le pourquoi, je veux créer une solution, ma solution. C'est simple, ce serait tellement plus simple que quelqu'un vienne me prendre par la main, m'amener tranquillement dehors. Serais-je prête, ressortir, affrontez les gens, le monde, tout ceux qui pensent de mauvaises choses en me regardant. Je me lève, j'avance tranquillement vers ma salle de bain, je referme la porte derrière moi. C'est la fin...
.(Je)
Les arbres noires semblent envahir mon champ de vision, impossible de passer à travers, la forêt est dense, sans fin. Les animaux sont redisparu, la chaleur aussi, j'avance tranquillement, l'air est lourd, j'ai de la difficulté à garder les yeux ouvert, le sol est froid, je ne veux pas m'endormir ici, je dois continuer à avancer, je vais lutter, je veux la revoir.
.(Elle)
Je dépose une main sur mon ventre, je ne vois pas pourquoi je m'en fais, tout est si simple, j'ai de l'aide de partout, est-ce que je dois réelement être jalouse de tout ce qui arrive aux autres. Je peux voir alentours de moi les vestiges de mon enfance, je ne place plus grand intérêts à celle que j'étais, je veux voir ce que je vais devenir, demain, j'irai m'excuser, elle mérite plus qu'une amie.
.(Tu)
J'ai apporter une radio aujourd'hui, je veux te faire entendre des chansons que t'aime, la chambre d'hopital ressemble de plus en plus à notre chambre, ils commencent à me parler que ce serait mieux si j'allais m'occuper de moi, que je ne me nourris pas bien, je veux juste être là quand tu va te réveiller. Est-ce que tu es prêt? ouvre les yeux, allez vas-y! "S'il-te-plait" La larme qui coule est tellement froide, quelqu'un entre dans la chambre, je ne le connais pas.
Bon c'est tout pour aujourd'hui, je vais retourner au travail, passez une bonne journée. En passant, ma lectrice et future modo Isabelle vient d'ouvrir son blog d'écriture, allez le voir ^^.
~Dragow~
.(L')
Nier, c'est ce que je fais de mieux, avec tout les gens qui sont près de moi, qu'ils soient virtuel ou réel, je nie complètement mon existence, je m'en rends compte, c'est bien, j'ai trouver mon problème, je ne veux pas trouver le pourquoi, je veux créer une solution, ma solution. C'est simple, ce serait tellement plus simple que quelqu'un vienne me prendre par la main, m'amener tranquillement dehors. Serais-je prête, ressortir, affrontez les gens, le monde, tout ceux qui pensent de mauvaises choses en me regardant. Je me lève, j'avance tranquillement vers ma salle de bain, je referme la porte derrière moi. C'est la fin...
.(Je)
Les arbres noires semblent envahir mon champ de vision, impossible de passer à travers, la forêt est dense, sans fin. Les animaux sont redisparu, la chaleur aussi, j'avance tranquillement, l'air est lourd, j'ai de la difficulté à garder les yeux ouvert, le sol est froid, je ne veux pas m'endormir ici, je dois continuer à avancer, je vais lutter, je veux la revoir.
.(Elle)
Je dépose une main sur mon ventre, je ne vois pas pourquoi je m'en fais, tout est si simple, j'ai de l'aide de partout, est-ce que je dois réelement être jalouse de tout ce qui arrive aux autres. Je peux voir alentours de moi les vestiges de mon enfance, je ne place plus grand intérêts à celle que j'étais, je veux voir ce que je vais devenir, demain, j'irai m'excuser, elle mérite plus qu'une amie.
.(Tu)
J'ai apporter une radio aujourd'hui, je veux te faire entendre des chansons que t'aime, la chambre d'hopital ressemble de plus en plus à notre chambre, ils commencent à me parler que ce serait mieux si j'allais m'occuper de moi, que je ne me nourris pas bien, je veux juste être là quand tu va te réveiller. Est-ce que tu es prêt? ouvre les yeux, allez vas-y! "S'il-te-plait" La larme qui coule est tellement froide, quelqu'un entre dans la chambre, je ne le connais pas.
Bon c'est tout pour aujourd'hui, je vais retourner au travail, passez une bonne journée. En passant, ma lectrice et future modo Isabelle vient d'ouvrir son blog d'écriture, allez le voir ^^.
~Dragow~
lundi 26 janvier 2009
Futures - Mindless Self Indulgence
Bon lundi tout le monde, qu'est-ce qui ce passe de bon avec vous autres? Passez un beau weekend? Il fait pas chaud aujourd'hui, -23°c. Je commence à avoir hâte de voir le gazon, il reste encore de la neige à tombée, on ne sait pas quand sa va s'arrêter, mais on a tous hâte que sa arrive. Bon, comme vous voyez j'ai rien à dire, à part, regardez à droite, j'ai rajouter mon nouveau blog d'opinion, Les humeurs d'un chat qui crache ^^. Allez voir :D. J'aimerais aussi souligner le début des négociations pour l'arrivée d'une correctrice(Isabelle).
.(L')
Je pense, je pense à travers un filtre, à travers une boite, je ne veux pas voir à l'extérieur de ma vie, je mène une vie où je suis contente de vivre, ce n'est pas sa qui va changer les choses, je fais de l'argent dans le monde où je vis, assé pour que je puisse continuer à vivre comme ça. Que personne n'entre, je suis bien seule.
.(Je)
Le bruit crépitant, l'odeur de bois brulé, plus je me rapproche plus ces odeurs sont importante. Je me retrouve face à une toute petite prairie, devant moi un cratère et des flammes l'entours, je m'avance doucement, je jette un coup d'oeil au fond, un arbre déformé, se tenant toujours debout, brulé jusqu'a à sève, devant un rocher qui est encore rouge de chaleur. Je m'assois sur le bord de ce trou, j'observe la scène qui m'est familière, la chaleur étouffante pèse moins sur mes poumons, l'air se refroidit, les flammes s'éteignent, je lance un coup d'oeil derrière moi, je vois une femme couché sur le sol, je me lève et je me précipite vers elle, en me penchant pour m'approcher d'elle, une secousse ébranle le sol, une vague de chaleur frappe mon dos, pendant un moment j'ai cru voir les yeux de la femme s'ouvrir mais elle a disparu, je suis encore ébranlé par le choc. Je m'éloigne du cratère, à travers les branches noircies de la fôret, je peux entendre un merci chaleureux, étouffé en pleurs, un merci qui ne me fait rien regretter. Je dois continuer à marcher, je dois arriver vers toi.
.(Tu)
Les medecins sont convaincus que le bébé va arriver dans les prochains jours, que le stress que je m'impose en restant près de toi est mauvais pour notre enfant. Je t'aime, je veux être ici, avec toi. Je dépose ma main sur ton torse encore une fois, tu sais que t'a perdu vraiment beaucoup de poids, je glisse ma main tranquillement sur ton ventre, d'un geste brusque tu lève le bras, ce n'est pas la première fois, tes réactions montrent que ton réveil est pour bientôt, prends ton temps, je t'attends.
Bon c'est tout pour aujourd'hui, Comme j'ai dit la semaine passée, trois textes vous attendent cette semaine, sa va bien aller^^
~Dragow~ Qui vous danse dans la nuit.
.(L')
Je pense, je pense à travers un filtre, à travers une boite, je ne veux pas voir à l'extérieur de ma vie, je mène une vie où je suis contente de vivre, ce n'est pas sa qui va changer les choses, je fais de l'argent dans le monde où je vis, assé pour que je puisse continuer à vivre comme ça. Que personne n'entre, je suis bien seule.
.(Je)
Le bruit crépitant, l'odeur de bois brulé, plus je me rapproche plus ces odeurs sont importante. Je me retrouve face à une toute petite prairie, devant moi un cratère et des flammes l'entours, je m'avance doucement, je jette un coup d'oeil au fond, un arbre déformé, se tenant toujours debout, brulé jusqu'a à sève, devant un rocher qui est encore rouge de chaleur. Je m'assois sur le bord de ce trou, j'observe la scène qui m'est familière, la chaleur étouffante pèse moins sur mes poumons, l'air se refroidit, les flammes s'éteignent, je lance un coup d'oeil derrière moi, je vois une femme couché sur le sol, je me lève et je me précipite vers elle, en me penchant pour m'approcher d'elle, une secousse ébranle le sol, une vague de chaleur frappe mon dos, pendant un moment j'ai cru voir les yeux de la femme s'ouvrir mais elle a disparu, je suis encore ébranlé par le choc. Je m'éloigne du cratère, à travers les branches noircies de la fôret, je peux entendre un merci chaleureux, étouffé en pleurs, un merci qui ne me fait rien regretter. Je dois continuer à marcher, je dois arriver vers toi.
.(Tu)
Les medecins sont convaincus que le bébé va arriver dans les prochains jours, que le stress que je m'impose en restant près de toi est mauvais pour notre enfant. Je t'aime, je veux être ici, avec toi. Je dépose ma main sur ton torse encore une fois, tu sais que t'a perdu vraiment beaucoup de poids, je glisse ma main tranquillement sur ton ventre, d'un geste brusque tu lève le bras, ce n'est pas la première fois, tes réactions montrent que ton réveil est pour bientôt, prends ton temps, je t'attends.
Bon c'est tout pour aujourd'hui, Comme j'ai dit la semaine passée, trois textes vous attendent cette semaine, sa va bien aller^^
~Dragow~ Qui vous danse dans la nuit.
jeudi 22 janvier 2009
My Heart - Paramore
Le nouveau truc dans mes titres c'est assé simple, c'est la chanson qui joue sur mon lecteur mp3 au moment où je crée le billet :D. Comme promis voci mon troisième textes de la semaine, une chance que je sais où je m'en vais, écrire à l'école c'est pas trop pire, mise à part les quelques regards condescendant que je reçois, bin, en fait les gens pensent surtout que je ne les vois pas parce que j'ai ma musique sur les oreilles et que je tape relativement d'une façon concentré mais la vision périphérique fait souvent des miracles ^^.
.(Je)
Les flammes crépitent de la même façon que dans mon souvenir, un souvenir qui n'a ni but ni tête, je me rappel d'être dans un monde complètement différent de celui-ci, qu'un truc brule tout près de moi et soudainement une explosion se fait ressentir. Je me demande si sa c'est vraiment passé.
.(Tu)
J'entrouvre le livre qu'elle m'a apportée, je ne comprends pas trop l'histoire, une euphorie complète entre deux personnages complètement amoureux, l'histoire impossible, sans penser à l'accident et à ton état, on ne vivait pas les moments les plus heureux qu'un couple peut avoir, mais être l'un avec l'autre voulait et veut toujours dire qu'on est heureux, sans l'être trop. Je suis confiante, je veux te voir te réveiller, les docteurs sont venu me voir aujourd'hui, en me disant que si tu ne te réveille pas bientôt, que les séquelles à ton cerveau peuvent être impossible à guérir, déjà ils pensent que tu as perdu l'usage de tes jambes. Tu le sais que je t'aime...non?
.(??)(Qui sera maintenant connue sous .(L') prononcé Lapostrophe)
donc
.(L')
Je suis trempée, j'ai dévalée la rue qui menait jusqu'à chez moi à la grosse pluie, le monde extérieur est tellement effrayant, pourquoi ici je n'ai aucun contrôle sur mon environnement? Je peux décider quand il pleut, quand il neige, je peux dire à quel force souffle le vent, mon univers est si beau, si parfait. Dans mon monde je ne pleurs pas, je suis heureuse, je dirige ma nation vers une proispérité qui lui est propre. Je peux enfin m'assoir devant mon ordinateur et marcher à travers la plaine tranquille, m'assoir parmis les herbes hautes et profiter du soleil qui est toujours à la bonne température. Je reçois déjà divers messages vocaux à travers mon casque d'écoute, je prends mon clavier dans mes bras, je sens le sol percuté mon épaule droite, une larme va s'écraser sur le sol... pourquoi je dois vivre dans un monde aussi imparfait, pourquoi je dois encore pleurer? Je suis couché sur le sol, la musique qui retentit maintenant dans la pièce démontre bien que je suis seule, si seule, mais je n'ai besoin de personne, je ne vois ni la vie ni la mort, je ne manque rien, je suis parfaitement confortable. La pluie frappe lentement sur ma vitre, la seule lumière qui éclaire ma vie provient d'un écran, je sers mon clavier contre moi un peu plus fort, ma vie n'est pas si pire que sa... j'ai des amis...
*DING*
*Un nouveau message privée de 1337Haro38 viens d'arriver*
J'aime écrire à propos de Lapostrophe, elle me fait penser à ma vie et à celle de quelques amis -_-''. Être un nolife sa se guérit ^^ la preuve, j'ai recommencer à vivre à l'extérieur.
Bon, j'ai un examen formatif dans une vingtaine de minutes. Allé, je vous aime!
~Dragow~ qui vous rappelle de vivre à 100 mille à l'heure
.(Je)
Les flammes crépitent de la même façon que dans mon souvenir, un souvenir qui n'a ni but ni tête, je me rappel d'être dans un monde complètement différent de celui-ci, qu'un truc brule tout près de moi et soudainement une explosion se fait ressentir. Je me demande si sa c'est vraiment passé.
.(Tu)
J'entrouvre le livre qu'elle m'a apportée, je ne comprends pas trop l'histoire, une euphorie complète entre deux personnages complètement amoureux, l'histoire impossible, sans penser à l'accident et à ton état, on ne vivait pas les moments les plus heureux qu'un couple peut avoir, mais être l'un avec l'autre voulait et veut toujours dire qu'on est heureux, sans l'être trop. Je suis confiante, je veux te voir te réveiller, les docteurs sont venu me voir aujourd'hui, en me disant que si tu ne te réveille pas bientôt, que les séquelles à ton cerveau peuvent être impossible à guérir, déjà ils pensent que tu as perdu l'usage de tes jambes. Tu le sais que je t'aime...non?
.(??)(Qui sera maintenant connue sous .(L') prononcé Lapostrophe)
donc
.(L')
Je suis trempée, j'ai dévalée la rue qui menait jusqu'à chez moi à la grosse pluie, le monde extérieur est tellement effrayant, pourquoi ici je n'ai aucun contrôle sur mon environnement? Je peux décider quand il pleut, quand il neige, je peux dire à quel force souffle le vent, mon univers est si beau, si parfait. Dans mon monde je ne pleurs pas, je suis heureuse, je dirige ma nation vers une proispérité qui lui est propre. Je peux enfin m'assoir devant mon ordinateur et marcher à travers la plaine tranquille, m'assoir parmis les herbes hautes et profiter du soleil qui est toujours à la bonne température. Je reçois déjà divers messages vocaux à travers mon casque d'écoute, je prends mon clavier dans mes bras, je sens le sol percuté mon épaule droite, une larme va s'écraser sur le sol... pourquoi je dois vivre dans un monde aussi imparfait, pourquoi je dois encore pleurer? Je suis couché sur le sol, la musique qui retentit maintenant dans la pièce démontre bien que je suis seule, si seule, mais je n'ai besoin de personne, je ne vois ni la vie ni la mort, je ne manque rien, je suis parfaitement confortable. La pluie frappe lentement sur ma vitre, la seule lumière qui éclaire ma vie provient d'un écran, je sers mon clavier contre moi un peu plus fort, ma vie n'est pas si pire que sa... j'ai des amis...
*DING*
*Un nouveau message privée de 1337Haro38 viens d'arriver*
J'aime écrire à propos de Lapostrophe, elle me fait penser à ma vie et à celle de quelques amis -_-''. Être un nolife sa se guérit ^^ la preuve, j'ai recommencer à vivre à l'extérieur.
Bon, j'ai un examen formatif dans une vingtaine de minutes. Allé, je vous aime!
~Dragow~ qui vous rappelle de vivre à 100 mille à l'heure
mardi 20 janvier 2009
Apocalyptica - Path(feat. Sandra Nasic)
Bon, on dirait que je vais émettre un billet un Mardi ^^. J'ai relu mes trucs depuis le mois de décembre et quelques trucs me sont venu en tête:
1-Je fais énormément de fautes d'inattention, j'ai pas vraiment le temps de me relire, mes derniers textes se sont écris à mon stage ou à l'école.
2-Je me trouve bon, c'est rare que je dis sa face à mes textes, mais j'aime ce que j'ai écrit.
3-Je comprends pourquoi j'ai l'air dépressif -_-''.
Bon, aujourd'hui je vais me concentrer un peu plus sur Je.
.(Je)
Depuis que je suis sur le pont le soleil c'est mis à descendre, je peux le voir au bout du ravin se coucher tranquillement, la lumière qui joue à travers les feuilles donnent l'impression que la forêt est dans un brasier gigantesque. Je vois de l'autre côté la vie, des petits animaux, des insectes, je remarque aussi au bout de ce pont un rocher de la grandeur d'un enfant, il semble même porter les bras vers le ciel. Je m'approche tranquillement, comme si je ne voulais pas l'effrayé, je passe le pont, le nuit s'installe tranquillement, les étoiles apparaissent, comme si une grande toile parsemé de crystal c'était installé au dessus de ma tête, la lune tant qu'a elle, me reste complètement invisible. L'enfant-rocher me regarde, aussi intensément que je le regarde, il tends les bras, paumes ouvertes, vers le ciel, j'ai de la difficulté à discerner un visage à travers les plis du rocher. J'entends au loin les bruits d'un cocher qui crie à ces chevaux, un galop lointain et des roues grinçantes suivent les cris, je cours me réfugier vers l'arbre le plus gros qu'il y avait près de moi. Un carosse apparait de l'autre côté du ravin, un carosse fait de tiges et de racines d'un arbres qui doit être gigantesque, le cocher est un homme bossu qui est surement trop concentré sur la route pour me remarquer, j'hésite un moment de jeter un regard vers la fenêtre du passager mais quand mes yeux se pose sur le carosse, je peux te voir, estomacqué par l'apparition je ne peux rien faire autre que de tendre une main vers toi. Je tente tant bien que mal de poursuivre le carosse à pied mais j'en suis incapable. Je continue ma marche dans la forêt en suivant maintenant la piste du carosse, je remarque que les feuilles ont encore changer de couleur, du jaune mourrant ils sont passé à noir troublant, depuis que je suis entré dans cette section de la forêt une odeur de charbon qui brule c'est empâré de ma gorge, l'odeur est étouffante, le gout est immonde mais je dois pousuivre ma route, je veux te retrouver. À ma gauche, j'ai entendu un bruit, comme si quelque chose brulait vraiment. J'y vais.
.(Tu)
Tu me fais peur, encore aujourd'hui ton activité a encore augmenté, les docteurs me disent que je n'ai pas besoin de m'inquièter, mais je veux rester près de toi, je veux être la première chose que tu vois à ton réveil. Je sens qu'il bouge, encore aujourd'hui les infirmières m'ont demandé si je voulais un lit, que le bébé allais arriver bientôt, je n'abbandonerai pas mon poste, je veux être avec toi.
Bon, mon heure de diner, j'ai fini mon texte, passer une bonne journée^^
~Dragow~ Est-ce que vous êtes capable de toucher vos paroles?
1-Je fais énormément de fautes d'inattention, j'ai pas vraiment le temps de me relire, mes derniers textes se sont écris à mon stage ou à l'école.
2-Je me trouve bon, c'est rare que je dis sa face à mes textes, mais j'aime ce que j'ai écrit.
3-Je comprends pourquoi j'ai l'air dépressif -_-''.
Bon, aujourd'hui je vais me concentrer un peu plus sur Je.
.(Je)
Depuis que je suis sur le pont le soleil c'est mis à descendre, je peux le voir au bout du ravin se coucher tranquillement, la lumière qui joue à travers les feuilles donnent l'impression que la forêt est dans un brasier gigantesque. Je vois de l'autre côté la vie, des petits animaux, des insectes, je remarque aussi au bout de ce pont un rocher de la grandeur d'un enfant, il semble même porter les bras vers le ciel. Je m'approche tranquillement, comme si je ne voulais pas l'effrayé, je passe le pont, le nuit s'installe tranquillement, les étoiles apparaissent, comme si une grande toile parsemé de crystal c'était installé au dessus de ma tête, la lune tant qu'a elle, me reste complètement invisible. L'enfant-rocher me regarde, aussi intensément que je le regarde, il tends les bras, paumes ouvertes, vers le ciel, j'ai de la difficulté à discerner un visage à travers les plis du rocher. J'entends au loin les bruits d'un cocher qui crie à ces chevaux, un galop lointain et des roues grinçantes suivent les cris, je cours me réfugier vers l'arbre le plus gros qu'il y avait près de moi. Un carosse apparait de l'autre côté du ravin, un carosse fait de tiges et de racines d'un arbres qui doit être gigantesque, le cocher est un homme bossu qui est surement trop concentré sur la route pour me remarquer, j'hésite un moment de jeter un regard vers la fenêtre du passager mais quand mes yeux se pose sur le carosse, je peux te voir, estomacqué par l'apparition je ne peux rien faire autre que de tendre une main vers toi. Je tente tant bien que mal de poursuivre le carosse à pied mais j'en suis incapable. Je continue ma marche dans la forêt en suivant maintenant la piste du carosse, je remarque que les feuilles ont encore changer de couleur, du jaune mourrant ils sont passé à noir troublant, depuis que je suis entré dans cette section de la forêt une odeur de charbon qui brule c'est empâré de ma gorge, l'odeur est étouffante, le gout est immonde mais je dois pousuivre ma route, je veux te retrouver. À ma gauche, j'ai entendu un bruit, comme si quelque chose brulait vraiment. J'y vais.
.(Tu)
Tu me fais peur, encore aujourd'hui ton activité a encore augmenté, les docteurs me disent que je n'ai pas besoin de m'inquièter, mais je veux rester près de toi, je veux être la première chose que tu vois à ton réveil. Je sens qu'il bouge, encore aujourd'hui les infirmières m'ont demandé si je voulais un lit, que le bébé allais arriver bientôt, je n'abbandonerai pas mon poste, je veux être avec toi.
Bon, mon heure de diner, j'ai fini mon texte, passer une bonne journée^^
~Dragow~ Est-ce que vous êtes capable de toucher vos paroles?
lundi 19 janvier 2009
Three Days Grace - Let it die
Bon Lundi matin, encore une fois je fini en avance mes exercices de mon cours pour venir écrire quelques lignes ici, comme j'ai dit la semaine passé, je vais essayer de passer à 3 textes semaines comme quand j'ai débuté les aventures de Je et Tu. J'ai presque fini mon ébauche pour mon projet en cours Web, je dois me trouver un nouveau job, je vois le printemps arrivé beaucoup trop vite, faut mettre la main à la pâte!
.(??)
Sa fait quelques heures que je suis arrivé, devant ta chambre il y a une grande vitre, couvert de rideau verticaux ouvert en biais, donnant sur une scène horrifiante, tu a l'air tellement changer, la femme qui est près de toi est tellement belle, je comprends que j'ai été remplacé, elle a toujours une main déposée sur toi, elle se donne à toi, tout le temps, surement depuis avant que l'accident s'est produit. Je m'assois dans le couloir, j'ai attendu que le temps passe, je ne sais pas vraiment pourquoi je suis ici, dans tout ce temps j'ai vu quelques personnes passées, aucune que je connais, surement des gens avec qui tu travaille ou que tu rencontre dans de longues soirées chez toi, des gens que tu peux appeler des amis. J'avoue que je n'ai pas été la souvent, on a pas pu passer tout le temps que j'aurais voulu ensemble. Je prends une feuille et un crayon, j'écris les derniers trucs que je veux te dire. Quelques minutes passent, j'ai vu une femme enceinte passée devant moi. Allé.. merci..
.(Elle)
Je te demande rapidement si tu connais la jeune femme qui était assise devant la chambre, d'un ton non-chalant tu me réponds que plusieurs personnes était passées aujourd'hui et que tu ne les connaissais pas tous. Je passais que pour te donner un croissant qui vient du bistro au coin de la rue, depuis hier, tu a décidé de rester près de lui, que ces signes vitaux se sont affolés hier et que c'était bon signe que son réveil approchait. Fais attention à toi, c'est tout ce que je veux, si tu ne veux pas me faire plaisir, je ne veux pas que tu te blesse à t'accrochée à lui, avec un espoir trop grand qu'il se réveille pour voir son enfant naître. Je te prends dans mes bras et je décide de quitter la chambre, la fille n'est plus à l'extérieur, j'aurais voulu lui parler...
.(Je)
J'ai tenté de trouver un pont, le ravin doit se traverser à un moment donné, j'ai continué à marché, les arbres sont toujours de se jaune mourrant, je ne vois pas comment une forêt peut changer comme ça, juste en la traversant, à moins que le temps qui passe ici est différent d'où est-ce que je viens. Le ravin semble s'étendre jusqu'à l'infini, je continu de marcher le long de l'abîme, au loin, j'apperçois quelques choses qui semble traverser de l'autre côté. Je le rejoins à la course, pour découvrir que c'est un pont, j'y dépose un pied, une chaleur s'engouffre en moi, calme, rassurant, je prends quelques secondes, je remarque à ma gauche une petite tablette cloué sur la bordure. "Je t'ai dans la..peau..."
Bon, c'est tout pour aujourd'hui, je vais en écrire deux autres d'ici vendredi prochain.
Je retourne à mon cours... du moins, je retourne à mon lecteur mp3.
~Dragow~ qui vous demande charité :D
.(??)
Sa fait quelques heures que je suis arrivé, devant ta chambre il y a une grande vitre, couvert de rideau verticaux ouvert en biais, donnant sur une scène horrifiante, tu a l'air tellement changer, la femme qui est près de toi est tellement belle, je comprends que j'ai été remplacé, elle a toujours une main déposée sur toi, elle se donne à toi, tout le temps, surement depuis avant que l'accident s'est produit. Je m'assois dans le couloir, j'ai attendu que le temps passe, je ne sais pas vraiment pourquoi je suis ici, dans tout ce temps j'ai vu quelques personnes passées, aucune que je connais, surement des gens avec qui tu travaille ou que tu rencontre dans de longues soirées chez toi, des gens que tu peux appeler des amis. J'avoue que je n'ai pas été la souvent, on a pas pu passer tout le temps que j'aurais voulu ensemble. Je prends une feuille et un crayon, j'écris les derniers trucs que je veux te dire. Quelques minutes passent, j'ai vu une femme enceinte passée devant moi. Allé.. merci..
.(Elle)
Je te demande rapidement si tu connais la jeune femme qui était assise devant la chambre, d'un ton non-chalant tu me réponds que plusieurs personnes était passées aujourd'hui et que tu ne les connaissais pas tous. Je passais que pour te donner un croissant qui vient du bistro au coin de la rue, depuis hier, tu a décidé de rester près de lui, que ces signes vitaux se sont affolés hier et que c'était bon signe que son réveil approchait. Fais attention à toi, c'est tout ce que je veux, si tu ne veux pas me faire plaisir, je ne veux pas que tu te blesse à t'accrochée à lui, avec un espoir trop grand qu'il se réveille pour voir son enfant naître. Je te prends dans mes bras et je décide de quitter la chambre, la fille n'est plus à l'extérieur, j'aurais voulu lui parler...
.(Je)
J'ai tenté de trouver un pont, le ravin doit se traverser à un moment donné, j'ai continué à marché, les arbres sont toujours de se jaune mourrant, je ne vois pas comment une forêt peut changer comme ça, juste en la traversant, à moins que le temps qui passe ici est différent d'où est-ce que je viens. Le ravin semble s'étendre jusqu'à l'infini, je continu de marcher le long de l'abîme, au loin, j'apperçois quelques choses qui semble traverser de l'autre côté. Je le rejoins à la course, pour découvrir que c'est un pont, j'y dépose un pied, une chaleur s'engouffre en moi, calme, rassurant, je prends quelques secondes, je remarque à ma gauche une petite tablette cloué sur la bordure. "Je t'ai dans la..peau..."
Bon, c'est tout pour aujourd'hui, je vais en écrire deux autres d'ici vendredi prochain.
Je retourne à mon cours... du moins, je retourne à mon lecteur mp3.
~Dragow~ qui vous demande charité :D
vendredi 16 janvier 2009
Linkin Park - Numb
J'ai hésité pendant un moment d'écrire une obscure introduction du texte d'aujourd'hui mais j'ai laissé tomber, j'ai pas vraiment de temps pour écrire, ma prof est entrain d'expliquer les structures itératives -_-''. Deux textes cette semaines, on va essayer d'en faire trois la semaine prochaines, les mises à jour ne sont pas régulières, je suis désolé, j'essaye d'adapter un horaire à ma vie complètement déviante. Donc, pendant que ma prof parle en avant, je vais laisser aller mes idées.
.(??)
Sa présence c'est encore manifester, comme avant, j'ai ressenti un léger frisson suivi d'une courte chaleur qui a parcouru mon échine, je ne voyais pas pourquoi, je vois son nom qu'il affiche pour se différencier des autres. "Venez me voir à l'hopital" J'ai paniquer quelques secondes, j'ai sauté dans une demi-douche, je me suis habillé à moitié, j'ai sauté dans un taxi que je venais d'appeler, attends-moi... j'arrive.
.(Je)
J'ai vu les feuilles changer, tranquillement d'un vert vivant à un jaune mourrant, les arbres deviennent moins gros, moins denses, j'entends quelque fois des feuilles volé au vent au passage rapide d'un être inconnu. Je ne me laisse pas intimidé, je continu d'avancer, rien ne va m'empêcher de les rejoindre. Je ne pense pas à ce qui pourrait m'arrivé, je suis grand et fort. Je veux protégé ceux que j'aime, je dois sortir d'ici, je sens le temps avancé trop vite. Depuis que je suis entré ici, je n'ai plus faim, je n'ai plus soif, je ne suis plus fatigué. Je dois retrouver la femme que j'aime, je l'ai dans la peau, mes pensées sont forgées à elle, je ne peux déroger de la voie, la décision est bonne. J'arrête, à mes pieds, un ravin s'étends trop loin, s'élance trop bas... je dois trouver une solution.
.(Elle)
Pourquoi elle reste avec lui? Au pied de son lit, chaque jour je la voie pleurer, comment il peut laisser ça faire? Je ne veux pas le laisser faire, donc, chaque jour je l'accompagne à l'extérieur, on mange un bout, j'essaye de lui faire parler d'autre chose, je veux qu'elle arrête d'y penser. Aide moi à t'aider, je ne veux pas te perdre toi aussi.
C'est tout pour ce vendredi, j'espere que vous avez aimé sa.
Bonne fête à Mini-Isabelle, presque trop vieille pour se faire appeler la jeune =p.
Passé une bonne journée
~Dragow~ qui vous demande de vous aimer aujourd'hui
.(??)
Sa présence c'est encore manifester, comme avant, j'ai ressenti un léger frisson suivi d'une courte chaleur qui a parcouru mon échine, je ne voyais pas pourquoi, je vois son nom qu'il affiche pour se différencier des autres. "Venez me voir à l'hopital" J'ai paniquer quelques secondes, j'ai sauté dans une demi-douche, je me suis habillé à moitié, j'ai sauté dans un taxi que je venais d'appeler, attends-moi... j'arrive.
.(Je)
J'ai vu les feuilles changer, tranquillement d'un vert vivant à un jaune mourrant, les arbres deviennent moins gros, moins denses, j'entends quelque fois des feuilles volé au vent au passage rapide d'un être inconnu. Je ne me laisse pas intimidé, je continu d'avancer, rien ne va m'empêcher de les rejoindre. Je ne pense pas à ce qui pourrait m'arrivé, je suis grand et fort. Je veux protégé ceux que j'aime, je dois sortir d'ici, je sens le temps avancé trop vite. Depuis que je suis entré ici, je n'ai plus faim, je n'ai plus soif, je ne suis plus fatigué. Je dois retrouver la femme que j'aime, je l'ai dans la peau, mes pensées sont forgées à elle, je ne peux déroger de la voie, la décision est bonne. J'arrête, à mes pieds, un ravin s'étends trop loin, s'élance trop bas... je dois trouver une solution.
.(Elle)
Pourquoi elle reste avec lui? Au pied de son lit, chaque jour je la voie pleurer, comment il peut laisser ça faire? Je ne veux pas le laisser faire, donc, chaque jour je l'accompagne à l'extérieur, on mange un bout, j'essaye de lui faire parler d'autre chose, je veux qu'elle arrête d'y penser. Aide moi à t'aider, je ne veux pas te perdre toi aussi.
C'est tout pour ce vendredi, j'espere que vous avez aimé sa.
Bonne fête à Mini-Isabelle, presque trop vieille pour se faire appeler la jeune =p.
Passé une bonne journée
~Dragow~ qui vous demande de vous aimer aujourd'hui
lundi 12 janvier 2009
Les vulgaires Machins - Dommages Collatéral
JE VAIS BIEN! Arrêtez de vous en faire, je ne me cherche pas, je ne suis pas dépressif, je suis heureux, en santé et des projets plein la tête, je suis content qu'autant de gens se pose des questions sur ma santé mentale mais je gère bien ce qui se passe dans ma vie, c'est normal de vouloir des calins, je suis quelqu'un qui aime les calins, il faut juste se calmer un peu, en analysant ma situation, tout va bien. Merci pour tout, je vais bien et ce, dans un aspect général de ma vie, c'est sur qu'il a des point que sa pourrait aller mieux, mais c'est comme sa pour tout le monde, je ne recherche pas l'attention à travers mes émotions, je recherche l'attention à travers mes textes, ce que j'ai fait la semaine passée ne devrait plus se reproduire, sa l'a créer beaucoup de contreverse et de question que je n'aurais pas voulu avoir.
.(Je)
La solution est simple, je me retrouve en plein millieu d'une forêt qui semble complètement vierge, d'un aspect dénaturée et qui m'est complètement inconnu. Le bruit que le vent fait en heurtant les feuilles semble vouloir me parler, un cri, une voix, un chant qui m'interpelle, sa fait quelques moments déjà que j'avance à travers ce dédale, chaque tournant me fait penser au dernier, les arbres se ressemblent tellement, je n'ai pas peur de ce qui va arriver, je sais que le prochain pas que je vais poser va être semblable au précédent. Je vois à peine le ciel à travers la canopée, il ne fait ni chaud, ni froid, comme si le printemps était entamé depuis un moment, ou peut-être l'automne, si jamais on est en plein été, non, la forêt aurait surement plus de conifère que sa. Oui, j'ai énormément de temps devant moi pour penser à sa, j'ai l'impression que tout le monde m'attends, mais que sa ne me dérange pas tant que ça. Je voulais tellement ne décevoir personne, je voulais tellement travailler dur pour que tout le monde apprécie le travail que je faisais, mais maintenant, sa ne m'importe pas, ici, seul au millieu de tout ces arbres qui ne soucie pas de ma présence, comme si je serais n'importe quel animal qui s'était aventurer jusqu'ici, en pensant à ça, j'ai pas encore croisé aucun autre signe de vie, est-ce que je suis perdu? Est-ce qu'on peut dire qu'on est perdu si personne n'a jamais posé le pied ici, si le lieu n'existe pas, est-ce que j'existe quand même?
.(Tu)
Les docteurs me parlent encore de ce qui est arrivé, il m'a aussi demandé si les journaux pourront être avertis quand qu'il se sera réveillé, il a quand même sauvé une vie, sans jamais craindre de perdre la sienne... Il est tellement stupide d'avoir tenté ça, je me demande si il a penser à moi quand il c'est lancé dans l'auto enflammée, est-ce qu'il a pensé au bébé? Je glisse ma main contre la sienne, j'aimerais tellement qu'il la serre, je veux avoir l'impression qu'il m'aime encore, que quand il va s'en sortir, il va être pareil comme avant. Est-ce que je suis égoïste en esperant qu'il n'aie pas de séquel à son réveil, si il se réveil. Non, garde espoir, il t'étonne de jour en jour, il va revenir comme si il n'avait fait qu'un somme, un somme de plusieurs mois. Je le prends dans mes bras, je dépose ma tête sur son ventre, je dépose sa main sur le mien. "Il t'attends, il veut voir son papa en santé." L'infirmière entre dans la salle, rapidement vérifie les signes vitaux, elle me rassure, elle me tends un sourrire, tout va bien allé, même si rien ne change dans ces papiers, tout ne peux que mieux allé.
Le retour des vacances, oui, même pour moi sa s'annonçait dur, alors on est content du premier vrai update 2009?
L'école a recommencé, HTML, prog, modem et fax. Sa s'annonce vraiment intéressant(-_-'')
Dragow qui vous dit ~ Demain jme lève tôt, allé tout le mode au lit! ~
.(Je)
La solution est simple, je me retrouve en plein millieu d'une forêt qui semble complètement vierge, d'un aspect dénaturée et qui m'est complètement inconnu. Le bruit que le vent fait en heurtant les feuilles semble vouloir me parler, un cri, une voix, un chant qui m'interpelle, sa fait quelques moments déjà que j'avance à travers ce dédale, chaque tournant me fait penser au dernier, les arbres se ressemblent tellement, je n'ai pas peur de ce qui va arriver, je sais que le prochain pas que je vais poser va être semblable au précédent. Je vois à peine le ciel à travers la canopée, il ne fait ni chaud, ni froid, comme si le printemps était entamé depuis un moment, ou peut-être l'automne, si jamais on est en plein été, non, la forêt aurait surement plus de conifère que sa. Oui, j'ai énormément de temps devant moi pour penser à sa, j'ai l'impression que tout le monde m'attends, mais que sa ne me dérange pas tant que ça. Je voulais tellement ne décevoir personne, je voulais tellement travailler dur pour que tout le monde apprécie le travail que je faisais, mais maintenant, sa ne m'importe pas, ici, seul au millieu de tout ces arbres qui ne soucie pas de ma présence, comme si je serais n'importe quel animal qui s'était aventurer jusqu'ici, en pensant à ça, j'ai pas encore croisé aucun autre signe de vie, est-ce que je suis perdu? Est-ce qu'on peut dire qu'on est perdu si personne n'a jamais posé le pied ici, si le lieu n'existe pas, est-ce que j'existe quand même?
.(Tu)
Les docteurs me parlent encore de ce qui est arrivé, il m'a aussi demandé si les journaux pourront être avertis quand qu'il se sera réveillé, il a quand même sauvé une vie, sans jamais craindre de perdre la sienne... Il est tellement stupide d'avoir tenté ça, je me demande si il a penser à moi quand il c'est lancé dans l'auto enflammée, est-ce qu'il a pensé au bébé? Je glisse ma main contre la sienne, j'aimerais tellement qu'il la serre, je veux avoir l'impression qu'il m'aime encore, que quand il va s'en sortir, il va être pareil comme avant. Est-ce que je suis égoïste en esperant qu'il n'aie pas de séquel à son réveil, si il se réveil. Non, garde espoir, il t'étonne de jour en jour, il va revenir comme si il n'avait fait qu'un somme, un somme de plusieurs mois. Je le prends dans mes bras, je dépose ma tête sur son ventre, je dépose sa main sur le mien. "Il t'attends, il veut voir son papa en santé." L'infirmière entre dans la salle, rapidement vérifie les signes vitaux, elle me rassure, elle me tends un sourrire, tout va bien allé, même si rien ne change dans ces papiers, tout ne peux que mieux allé.
Le retour des vacances, oui, même pour moi sa s'annonçait dur, alors on est content du premier vrai update 2009?
L'école a recommencé, HTML, prog, modem et fax. Sa s'annonce vraiment intéressant(-_-'')
Dragow qui vous dit ~ Demain jme lève tôt, allé tout le mode au lit! ~
vendredi 9 janvier 2009
Like the angel de Rise Against
C'est sans trop penser que je vais écrire les prochaines lignes.
J'ai fermer les yeux, à travers la noirceur, le bruit, j'ai tenté de trouver ta voix, j'ai fait glisser sur mon clavier mes doigts, je n'ai trouver ni la patience ni le courage d'exprimer ce que je pensais, malgré tout ce que j'aurais pu faire ou penser, le simple fait d'en parler, sa l'a toujours tourner en blague ridicule d'adultes qui contourne la question. Le simple fait de sortir de chez moi me terrifie, pas énormément, un peu comme quand qu'on va se jeter pour la première fois dans une piscine de l'année, on sais que l'eau est glaciale mais on s'y jette pareil, par conviction, parce que nos amis y sont déjà, parce que c'est la vie et il faut vivre avec. Est-ce que tu veux bien prendre ma main, je veux faire les quelques prochain pas avec toi, veux-tu? Je n'attends pas vraiment de réponse, je ne dédit pas la question à personne, juste, entre toi et moi, veux-tu que je t'aide à faire ces prochains pas, veux-tu m'aider à faire les prochains? Je n'ai pas peur de l'inconnu qui arrive à toute vitesse, j'ai peur, comme la première fois qu'on se lance dans la piscine, j'ai peur du froid qui m'attends de l'autre côté. Est-ce que c'est possible de marcher sans y penser, est-ce que je devrais renier tout ce que je suis pour poursuivre l'œuvre de ma vie, est-ce que je peux rester marginal et que mes parents soit quand même fier de moi? Est-ce que tu veux me tendre la main, t'approcher de moi, te blottir contre mon torse, encore frêle des derniers combats qu'il a fait, écouter mon cœur et me dire qu'il bat surement à la même cadence que le tien. Même si tu me mentirais sur ce fait, parce que mon cœur ne bats plus très vigoureusement, est-ce que tu voudrais me le dire pareil? Le délai n'est pas très long, le temps ne nous manque pas quand même, mais une fois que ma main sera remplie par la tienne et que je te regarderai dans les yeux, je te dirai merci, pour une fois, je ne me sentirai surement pas seul.
Bon, comme j'ai dit, j'ai pas penser du tout quand j'ai écris sa, je devais expulser sa quelque part, Les aventures de Je et Tu seront de retour la semaine prochaine, en passant, J'ai commencé l'école Lundi passé et tout va très bien, je m'entends bien avec les gens, on ne me connait pas vraiment, on se fait des idées sur moi, je ne vois pas pourquoi je m'en fais.
En passant, j'ai oublier quelques anniversaires, sa fait un moment déjà, alors ^^
Bonne fête à mon neveu Loïk, toi aussi tu va devenir vieux et grand ^^ laisse toi une chance mon homme
Bonne fête à mon père, même si on se lance des pierres un peu trop souvent, je t'aime pareil
Dragow ~Venez me faire un calin, sa ne vous tuera pas...~
J'ai fermer les yeux, à travers la noirceur, le bruit, j'ai tenté de trouver ta voix, j'ai fait glisser sur mon clavier mes doigts, je n'ai trouver ni la patience ni le courage d'exprimer ce que je pensais, malgré tout ce que j'aurais pu faire ou penser, le simple fait d'en parler, sa l'a toujours tourner en blague ridicule d'adultes qui contourne la question. Le simple fait de sortir de chez moi me terrifie, pas énormément, un peu comme quand qu'on va se jeter pour la première fois dans une piscine de l'année, on sais que l'eau est glaciale mais on s'y jette pareil, par conviction, parce que nos amis y sont déjà, parce que c'est la vie et il faut vivre avec. Est-ce que tu veux bien prendre ma main, je veux faire les quelques prochain pas avec toi, veux-tu? Je n'attends pas vraiment de réponse, je ne dédit pas la question à personne, juste, entre toi et moi, veux-tu que je t'aide à faire ces prochains pas, veux-tu m'aider à faire les prochains? Je n'ai pas peur de l'inconnu qui arrive à toute vitesse, j'ai peur, comme la première fois qu'on se lance dans la piscine, j'ai peur du froid qui m'attends de l'autre côté. Est-ce que c'est possible de marcher sans y penser, est-ce que je devrais renier tout ce que je suis pour poursuivre l'œuvre de ma vie, est-ce que je peux rester marginal et que mes parents soit quand même fier de moi? Est-ce que tu veux me tendre la main, t'approcher de moi, te blottir contre mon torse, encore frêle des derniers combats qu'il a fait, écouter mon cœur et me dire qu'il bat surement à la même cadence que le tien. Même si tu me mentirais sur ce fait, parce que mon cœur ne bats plus très vigoureusement, est-ce que tu voudrais me le dire pareil? Le délai n'est pas très long, le temps ne nous manque pas quand même, mais une fois que ma main sera remplie par la tienne et que je te regarderai dans les yeux, je te dirai merci, pour une fois, je ne me sentirai surement pas seul.
Bon, comme j'ai dit, j'ai pas penser du tout quand j'ai écris sa, je devais expulser sa quelque part, Les aventures de Je et Tu seront de retour la semaine prochaine, en passant, J'ai commencé l'école Lundi passé et tout va très bien, je m'entends bien avec les gens, on ne me connait pas vraiment, on se fait des idées sur moi, je ne vois pas pourquoi je m'en fais.
En passant, j'ai oublier quelques anniversaires, sa fait un moment déjà, alors ^^
Bonne fête à mon neveu Loïk, toi aussi tu va devenir vieux et grand ^^ laisse toi une chance mon homme
Bonne fête à mon père, même si on se lance des pierres un peu trop souvent, je t'aime pareil
Dragow ~Venez me faire un calin, sa ne vous tuera pas...~
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