jeudi 18 décembre 2008

Une triste fin

C'était ma dernière journée de stage... Je vais m'ennuyer de tout le monde, plus que 6 mois d'école ^^.

.(Je)

La forêt est dense, j'ai l'impression d'avoir passé trop de semaines à marché, tout se ressemble...

L'idée ici va être de passer quelques billet dans la tête d'un comateux, c'est très court ce soir mais j'ai eu une mauvaise nouvelles, demain va falloir je me lève vraiment plus tôt que d'habitude.

Je vais tenté d'en faire un bientôt.

~Dragow~


Le dernier jour

C'est mon dernier jour de stage, je suis plutôt triste de quitter la commission, va falloir que je m'y fasse, les gens ici sont vraiment gentil, courtois et serviable. Je vais écrire un billet surement ce soir en revenant de mon dernier jour de stage. Bon, allé... au travail.
~Dragow~

lundi 15 décembre 2008

Une vie brisée ~Chapitre 4~

...


~Moi~
La vie, pourchassée, tracée, traquée, meurtrie, nous envoi des messages chaque jour, chaque heure, chaque minute, un message, sans être clair, veut toujours être écouté, vu, ressenti. Il a reposé 8 mois à l'hôpital, le neuvième mois s'entame à peine, elle a ressenti toute les émotions qu'une amoureuses inquiète pourrait ressentir. J'ai pu la voir, de ma place, regarder à la fenêtre, souhaité à chaque secondes, entre chaque message de sa vie, que son amour s'éveille et fleurit comme avant, je pouvais ressentir chaque pulsations, chaque demande, chaque pensée. Les journées défilait lentement pour elle et tellement vite pour moi, assis sur mon siège, regardant sa vie comme on écoute un téléroman, je suivais chacun de ces mouvements, mon coeur chavirait tout les soirs, tout les soirs où elle s'assoyait pour prendre son souper, à regarder vers son visage endormi, tout ce qu'elle goutait était tellement amer, froid, vide... Neuf mois plus tard... tout a tellement changé...
.(Tu)

Entre deux larmes, je te demande de revenir vers moi, les médecins demandent chaque jour si j'ai pu dormir, si j'ai bien manger, le bébé approche, je le sens bouger, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je ne suis pas prête...pas sans toi. Je termine mon souper, en esperant chaque soir que l'odeur te fasse revenir à toi, sans vraiment de succès. Chaque matin je te rase la barbe, j'ai pu découvrir le joie de te faire un autre visage, sans t'entendre rouspeté, même si j'aurais voulu t'entendre dire quelque chose. Les infirmières sont contentes de voir quelqu'un si bien s'occuper de toi, je m'inquiète tellement, je t'ai si profondément dessiné dans mon corps, que ton nom est indélibbile. Je t'aime tellement.

Alors? ...

~Dragow~

...

...

(Je)
Le brasier envahissait tranquillement l'intérieur de la voiture, la jeune fille inconscience n'envoyait aucun signe de vie, la voiture est sur le toit, les portes sont coincés, j'utilise mon pied pour détruire la vitre du côté conducteur, je me penche vers les éclats brisées aux sols, je glisse une main à l'intérieur, j'essaie de passer dans le petit cadrage, j'entends le feu crépitant qui s'attaque aux bancs de derrière, j'ai de la misère à garder les yeux ouverts, la chaleur est étouffante, j'ai mal à la tête, je me rends vers la boucle de sa ceinture, par chance elle n'est pas coincées. Je balance son corps vers le côté passager, je la tire avec moi jusqu'à l'extérieur, des gens commencent à courir vers nous, je leur dis de reculer. Je l'éloigne de la voiture, je la dépose au sol, je la regarde, sa chevelure à commencé à bruler, elle n'as plus de sourcils ni de cils, je vérifie sa respiration, je commence à lui faire un bouche à bouche, je prie, je lui parle, je lui supplie "reste en vie..." Je vois son torse faire des mouvements saccadés, un étrange cillement dans mes oreilles, je me lève sur une jambe, je sens une volée de chaleur, le vent vient s'écraser sur mon visage, je titube, je vole, je m'écroule, la neige est froide... Je ne sens plus mon nez... Je pense à toi, je me demande si j'aurais le temps de passer la balayeuse avant que t'arrive. Je vois le soleil qui se couche, tranquillement derrière notre appartement, je peux voir notre fenêtre, je ne peux pas me lever, j'ai de la difficulté à bouger. Je veux te revoir, je veux que tu sois là, je ne veux pas t'inquiéter. J'entends finalement une sirène, je ne peux pas lutter, je ferme les yeux, je t'aime.

.(Tu)

La soirée c'est bien passé, on a rit, on c'est parlé de tout et de rien, l'insignifiance de tout ce dire. Je t'invite à dormir ici, au moins je ne serai pas seule ce soir, c'est la première fois que sa arrive depuis que je pense à toi. La nuit est bien avancée, on est assises face à la fenêtre qui donne sur le ciel, le ciel grisonnant, parcourus de nuages sombres qui annonce une autre tempête de neige, je verse une larme, je ne comprends pas vraiment pourquoi, je dois m'ennuyer de toi, tellement. Le téléphone sonne, il est tard, je cours pour pas que mes voisins m'en veuillent, je décroche le combiné. Qu'est-ce que... "non.." Je sens que mon coeur c'est arrêté. Je ne comprends pas ce qui se passe, je t'ai vu courrir vers le téléphone, prendre rapidement les informations sur un bout de papier, tu me lance mon manteau, tu va nous conduire jusque là.

.(Elle) Mais quel idiot, pourquoi aujourd'hui, pourquoi maintenant, l'histoire ne peut pas se répêter. Je file le plus vite que je peux, par chance j'avais la voiture de ma mère. Elle pleure assise sur le band passager, j'enfile les vitesse de la voiture le plus vite que je peux, on arrive finalement en vue de l'hopital... Encore... J'y vais avec toi, je serai là...

...

~Dragow~

mardi 9 décembre 2008

La brise hivernale

J.'ai passé trois jours assé intense, quoique, j'aime pas trop qualifier sa d'intense, plus l'impression d'avoir tenter de boire mes souvenirs, d'essayer d'étrangler ma naïveté, de lancer des roches à mon ignorance, sans vouloir être profond, j'ai tenté de voir le fond de la bouteille de ma vie, je peux juste trouver des trucs positifs, que je me mette dans toute les positions possible, que je retourne la question encore plus longtemps et rapidement qu'un cycle planètaire, j'ai aucune raison de me sentir dans le fond comme sa. J'écris encore ces quelques lignes au début, pour savoir si un reflet de ce que je vie ce retrouve dans mes textes, pour voir si mon émotionnel constitue un appui frontal face à l'éradication du bon gout dans mon écriture. Va falloir que je règle mes haut et mes bas, sans trop que je pense à ce qui se passe.

(??)

L'obsession, j'ai encore l'impression que tout ce passe si bizzarement, depuis son apparition je ne peux plus m'arrêter de penser à lui, aujourd'hui je me suis habillé, pris une douche, je me suis bien rasé, je me suis bien peigné, j'ai sortit nos vieilles conversations qu'on avait sur notre forum de discussion, à quel point on voulait changé le monde, je me rappel du moment où l'on c'est rencontré en secret, tu ne voulais pas que sa s'ébruite, au moins toi tu comprennais ce que je vivais, sans trop comprendre pourquoi encore, je me suis mis à faire les cents pas dans mon appartement lugubre, j'ai réussi à enlever les vidanges que j'ai pu entasser dans un coin, sans vraiment les déposer dans un sac, just eles rassembler à un endroit, à un autre moment de zèle je pourrai accomplir la tâche et laver les taches qu'ils ont laisser. Je n'arrive pas trop à retracer ton numéro, je n'ai pas trop chercher non plus, j'imagine que je ne suis pas trop prêt, allé je t'envoi un mail, comme ça tu sera pas trop surpris de me voir arrivé. Je penes encore à toi...tu vois?

.(Tu)
Enfin une amie qui vient souper à l'appartement, il est toujours pas à l'appartement, j'ai passé l'aspirateur toute seule, si je l'aurais attendu, qu'elle idée elle aurait eu de notre souc à cochon. En même temps que je l'invite à entrée, je cours sortir les plats du four, on a le temps de discuter, elle fuit mon regard, elle n'est pas confortable, elle est en manque d'attention, en manque d'amour, j'ai l'impression d'être sur le bord de la ramasser à la petite cuillière, je la prends dans mes bras, je lui dit que tout va bien aller, que si elle stress trop, je peux l'accueillir chez moi, il peut bien dormir sur le divan pendant qu'on partage le lit. Je réussis à la faire sourrire, je suis contente de la voir rire, je l'invite à passée à table, j'ouvre une bouteille de vin, même si ce n'est pas bon pour les bébés, on en a besoin plus qu'on pense. Sans éxagération, un verre chacun, on passe au souper, on parle contre mon fiancé, c'est dur pour moi et elle, c'est dur pour lui, mais il n'est pas là. Je m'ennui et je m'inquiète, il ne répond pas à son cellulaire, je stress, je lui demande de restée avec moi encore un moment... Qu'est-ce qui ce passe?..

.(Je)

Je me lance dans la voiture accidentée, je fais tout mon possible pour sortir la jeune fille, je sens la chaleur me lecher le visage... Qu'est-ce qui ce passe?

BOOM!
Jvous fait peur han?

~Dragow, qui ramène un peu de chaleur à son histoire~

lundi 8 décembre 2008

Un matin Indomptable

Aujourd'hui, comme un jour normal, je me suis levé, j'ai enfilé un pantalon, regardé le temps dehors, joué avec mon chat, vérifié si il y avait quelque chose d'intéressant dans mon frigo, retourné dans ma chambre, planté devant mon ordinateur, jasé avec des copains virtuels, m'ennuyé d'elle. Là, ce qui va arrivé dans ma journée, va falloir j'aille voté, prendre une marche au froid... Il me semble que mon matin semble plus chargé que mon après-midi... Je vais bien trouver quelque chose à faire :D.

.(Je)

Le matin est froid, sa fait déjà quelques jours qu'on a visité nos parents, t'es plus colleuse qu'avant, comme nos chatons qui sont en manque d'affection, le matin froid m'a permis de les observer, après quelques minutes d'exaltation face à leur charme, je me suis rapidement rendu compte qu'ils n'étaient pas intéressant du tout. Un peu comme moi, toujours habillé d'une façon ennuyante, même si j'ai l'air intéressant à flatter, je ne suis pas intéressant à regarder. C'est décidé, aujourd'hui je vais m'acheter du nouveau linge. Je me lève de mon plancher, je range la balayeuse que j'avais sortit plutôt, il aurais d'ailleurs fallu que je finisse de la passer, je vais mettre sa sur la faute des chats... J'enfile mes souliers et mon manteau, je me dirige vers le magasin le plus près, avec un peu de chance, je vais trouver du linge d'été. Je ne m'arrête à rien, je prends de la couleur à regarder les vêtements défilé devant moi, elle va être contente de tout ça. J'en achète assé pour passé une semaine complète avec du nouveau linge. Je me dépèche de revenir à l'appartement. je dois passer la balayeuse avant que t'arrive.

.(Tu)

J'ai finie un peu plus tôt, t'es pas là, la balayeuse est pas passée, je ne suis pas en colère... mais tu va y gouter..

.(Elle)

Un nouvel appartement c'est libéré près de chez eux, au moins je ne serais pas seule, elle m'a déjà avertit, même si on garde très peu contact, au moins avec elle, je me sens un peu comme avec une amie, elle est toujours si gentille et souriante. Je me sens encore coupable de ce qui est arrivée, même si tout le monde me dit le contraire, je l'aurais juste accompagner à travers tout sa, c'est normal que vers la fin, j'aille abbandonner la course, l'endurance ni était plus, on me remercie plutôt, comme si j'aurais étendu son espérance de vie de quelques mois supplémentaire. Ce soir je vais souper avec eux, c'est le rire bizzare de mon hôtesse qui m'a fait peur, surtout le "y va y gouter" que j'ai pas trop aimer...

bon c'est tout pour aujourd'hui.

Je vais essayer de faire mieux, j'ai la guidance qui va vers le champ, j'aurais besoin d'une coupe de calin supplémentaire. qu'est-ce vous en dites?

~Dragow qui vénère chacun de ces pas~

mercredi 3 décembre 2008

'ne fête

Aujourd'hui on souhaite bonne fête à Danika... et si c'est pas sa fête... Bin je m'excuse, Bonne fête Dan pareil!

Pas de texte ce soir, je me couche tôt, et le message va apparaitre tard. Désolé :D

lundi 1 décembre 2008

Inintéressante réalité

Ce soir je ne me sentais pas vraiment à l'aise d'écrire, j'essaye de me calmer, vous savez, je n'ai pas vraiment le temps de poser, je fais juste brandir mon poing en symbole de haine et de rébellion, je sais même plus contre quoi je me bats, j'ai presque eu envi de me laisser taper dessus, en me demandant ce que j'avais encore à faire. Donc ma soirée c'est pas super bien passé, j'ai besoin de rencontrer des nouvelles personnes, encore, de me changer les idées, vivement Québec, la capitale va me faire du bien. Pas que j'ai des raisons de stresser, juste que je veux faire des trucs, c'est vrai que rencontrer des nouvelles personnes sa serait cool. Demain, on va voir ce que tu me réserve.

.(Tu)

Les murs en tremblent encore, la nuit à été excellente, je ne me suis arrêtée à rien, je suis détendue, relaxe, tranquille, je peux respirer tranquillement, tu t'es endormi dos à moi, je sais que tu es stressé toi aussi, je t'agrippe par les épaules, tu respire fort encore, je te sers contre moi, tu va me faire rêver cette nuit. je dépose un baiser dans ta nuque. Tu m'as encore dans la peau.

.(Elle)

Le plafond de ma chambre est encore tout rose, comme si la couleur avait pas changé depuis 10 ans. Mes parents passent beaucoup de temps avec moi, je dépose une main sur mon ventre, ils sont si apeuré pour mon avenir, ils me répètent sans cesse qu'ils seront présent pour moi, je ne suis pas vraiment stressée, il y a assé de gens qui m'entourent, qui m'encouragent, qui veulent être près de moi, j'ai l'impression qu'il ne me reste plus rien à faire, excepté de regardé ce plafond rose, miteux, sans vie, qui m'avais beaucoup amusé quand j'étais une enfant. Je ne vois plus vraiment d'intérêt à avoir des murs ce couleurs là, c'est pas vraiment important non plus, va falloir que je me trouve un emploi, va falloir que je quitte la maison familiale, surement que je pourrais trouver de l'aide quelque part.

.(Je)
Pas content de m'être enfin réveiller, j'ai entendu beaucoup de bruit dehors, déjà que sa t'as pas réveillée on va faire un effort de s'habiller sans bruit à l'extérieur de la chambre. Je m'approche tranquillement de ma porte, je regarde à travers l'oeillère, les voisins d'en face déménage... en plein mois de février...

C'est court, mais c'est tout ce que j'ai pondu désolé, demain je fais un effort et je vais passer une belle soirée.

Quelqu'un veut venir marcher avec moi? Au moins, je vais pouvoir faire la competition avec Alone. Qu'est-ce que vous en dites, allez prendre une petite marche?

Dragow qui vous dit, ALLÉ VOUS COUCHEZ!
On dit Merci à ~Anime~2000 de Deviantart pour ce joli dessin

Un lendemain de détresse

Ouais... bon la plupart du temps je suis heureux et détendu, tout va bien dans ma vie, j'ai rien à me reprocher mais il y a des jours comme aujourd'hui ou j'explose considérablement tout ce qui est sur mon passage, je me suis pris les cheveux pour rien parce qu'une amie voulait me parler (même si c'était avec insistance) je me suis senti étouffé... je sais pas, juste l'impression des me sentir comme sa m'a fait explosé, je sais que je suis célibataire depuis un moment déjà mais le sentiment de me faire contrôlé m'enrage, sa fait pas vraiment longtemps que je em sens comme sa, bien sur j'ai toujours été fan de ma liberté mais à ce point...je sais pas... donc j'aimerais m'excuser publiquement pour la saute d'humeur que j'ai eu. Miscuse Dan. Suite à ça, j'essaie de m'organiser pour être le plus présent possible pour tout le monde, tout le monde veut une partie de Dragow mais je suis tout seul dans mon corps :D. Un à la fois, prenez des billets ;).

.(Tu) La soirée avec mes parents c'étaient nettement mieux passer que la soirée avec les tiens, je me sentait coincées et pas très enjouées face à tout ça, la rencontre était normal, je me sentais juste un peu trop gênée devant eux. j'imagine que tu l'a ressenti, mes parents t'ont surement rendu mal à l'aise toi aussi. Pendant le souper j'ai essayé de faire des rapprochement entre tes parents et toi, je crois que tu a le nez de ta mère mais la bouche à ton père, j'ai vu aussi beaucoup de mani que je trouve chez toi que ton père a, du genre de toujours replacer ta chemise, c'est inévitable de te voir faire sa, toujours entrain de la tirer vers le bas pour cacher le peu de peau qui pourrait transparaitre ou arranger le colet qui est déplacé, enfin selon toi. Il ne reste que tu lui ressemble tellement, sa fait un an que tu me dit que vous ne vous ressembliez pas du tout et sur aucun point, à quel point ton père est arrogant et supérieur, tandis que toi t'es l'humanitaire des deux, faut croire que vous est sensiblement identique, faut juste regarder sa de l'extérieur, moi je me comprends. Au moins, on retourne chez nous, tes parents ont été assé gentil de nous rapprocher de chez nous, une petite marche ne nous tuera pas. les rues sont relativement calme, il n'est pas très tard mais aujourd'hui fût une journée assé éreintante pour presque tout le monde, dans la nuit il a neigé près d'un mètre de neige, sa parait sur tout le monde, le stress accumulé, l'envi de pleurer en regardant la neige accumuler sur nos belles entrées qui étaient si bien dégagé la veille. J'ai pu au moins t'observer dans tes capacités à pelleter de la neige, je te trouvais sexy pelle en main à retirer la neige, tu travaillais dur, je pouvais dire que tu es mon homme, même si je t'ai dans la peau, t'es tellement incrustré profondément dans ma peau que sa me semble impossible, je ne pense qu'a toi, qu'a toi et au bébé, faut croire que je ne peux pas l'oublier lui. C'est fini mes longues soirées passer devant la télé, à profiter seulement de ma tranquillité, où je pouvais jouer la mauvaise fille avec toi et on pouvais faire les coquins sur le divans, fini le temps où je n'avais pas à penser à être la mère modèle, je ne serai pas une mère indigne, mais je ne veux pas tout perdre de ma vie non plus. Pensée à tout sa me stress trop, rentrons chez nous que je me change les idées.

.(Je)
Faut croire que t'es pressée de regagner notre petit nid douillet, déjà dans l'entrée de l'immeuble tu m'aggripe la main en montant presque toute les marches à deux par deux, je ne peux pas croire qu'une femme enceinte peut monter ausi vite, elle est en forme ma mie. Tu enfonce presque la porte, tu me pousse à l'intérieur, tu enlève rapidement et maladroitement tes bottes et ton manteau, tu me saute au cou, j'ai encore mes gants, même pas eu le temps de dire "ouf". Tu m'embrasse, tu profite, tu t'éxaltes de moi, tu veux recouvrir une force que tu a perdu, on dirait que tu es à la recherche d'un trésor perdu caché sous mes vêtements, tu ne profite pas, tu ne me demande rien, je suis violé dans ma propre maison. Bien que tout sa me plaise, tes intentions sont plutôt claire. La nuit va être mouvementée.

.(??) Après quelques recherches, j'ai su que tu ne vivait plus chez tes parents et que tu avais maintenant une copine, sa m'a tout l'air sérieux cette histoire. Je ne peux pas croire que toi, mon petit démon virtuel, tu sois devenu un homme de la vie réelle, je comprends tes besoins, mais de là à t'afficher complètement devant un fait insaisisant et insistant qui pousse chaque être humain à devenir meilleur, de là à devenir père. Je ne crois pas que tu m'aie oublier, je ne crois pas que tu pense à moi non plus, mais rappel toi les mots que tu m'a dit un peu avant que tu ne me quitte pour elle, rappel toi que tu était langoureusement tapi dans l'ombre comme moi, rappel toi que tu me vouais un amour que seul toi et moi pouvait comprendre, sans artifice, sans être spécial, je me suis mis à nu devant toi, sans vraiment que tu puisse me voir, je me demande même si tu en aurais profité, aurais tu eu la patience et le courage de passer à travers ces hécatombes, à venir pénétrer dans ma solitude, m'aurait-tu seulement compris, enfin... plus que moi je peux me comprendre. Je me lève tranquillement de cette chaise, je m'approche de cette fenêtre, le froid du plancher ne m'éveille rien de spécial, autre que j'ai égarer mes pantoufles, je pose une main sur la vitre, je regarde dehors, comment l'être humain, pitoyable dans l'ensemble, peut me faire languir de l'attention que je mériterais d'avoir. Je vais t'appeler à l'aide, à mon tour, je pourrai sortir de ce monde tonitruant qu'est le notre, je pourrai vivre parmis les autres, me fondre dans la masse, et finalement, trouvé un peu de bonheur. Où est-je bien pu mettre ces pantoufle?


Puissant, intéressant, devient complètement loufoque, est-ce que l'auteur à perdu le fil de son idée... ne vous inquiètez pas... vous allez bientôt comprendre qu'est-ce qui se passe dans le monde des aventures de Je et Tu.

Dans l'ère post-glaciaire on a pu remarquer la naissance de millions de sortes d'espèce vivantes, mais il a fallu que je sorte du lot, que je survive à tout. Qui suis-je?

Dragow qui vous laisse avec cette devinette :D
Cloud et Tifa, dessiné par Ladywinde, tout le crédit revient à elle pour ce joli dessin