mardi 9 décembre 2008

La brise hivernale

J.'ai passé trois jours assé intense, quoique, j'aime pas trop qualifier sa d'intense, plus l'impression d'avoir tenter de boire mes souvenirs, d'essayer d'étrangler ma naïveté, de lancer des roches à mon ignorance, sans vouloir être profond, j'ai tenté de voir le fond de la bouteille de ma vie, je peux juste trouver des trucs positifs, que je me mette dans toute les positions possible, que je retourne la question encore plus longtemps et rapidement qu'un cycle planètaire, j'ai aucune raison de me sentir dans le fond comme sa. J'écris encore ces quelques lignes au début, pour savoir si un reflet de ce que je vie ce retrouve dans mes textes, pour voir si mon émotionnel constitue un appui frontal face à l'éradication du bon gout dans mon écriture. Va falloir que je règle mes haut et mes bas, sans trop que je pense à ce qui se passe.

(??)

L'obsession, j'ai encore l'impression que tout ce passe si bizzarement, depuis son apparition je ne peux plus m'arrêter de penser à lui, aujourd'hui je me suis habillé, pris une douche, je me suis bien rasé, je me suis bien peigné, j'ai sortit nos vieilles conversations qu'on avait sur notre forum de discussion, à quel point on voulait changé le monde, je me rappel du moment où l'on c'est rencontré en secret, tu ne voulais pas que sa s'ébruite, au moins toi tu comprennais ce que je vivais, sans trop comprendre pourquoi encore, je me suis mis à faire les cents pas dans mon appartement lugubre, j'ai réussi à enlever les vidanges que j'ai pu entasser dans un coin, sans vraiment les déposer dans un sac, just eles rassembler à un endroit, à un autre moment de zèle je pourrai accomplir la tâche et laver les taches qu'ils ont laisser. Je n'arrive pas trop à retracer ton numéro, je n'ai pas trop chercher non plus, j'imagine que je ne suis pas trop prêt, allé je t'envoi un mail, comme ça tu sera pas trop surpris de me voir arrivé. Je penes encore à toi...tu vois?

.(Tu)
Enfin une amie qui vient souper à l'appartement, il est toujours pas à l'appartement, j'ai passé l'aspirateur toute seule, si je l'aurais attendu, qu'elle idée elle aurait eu de notre souc à cochon. En même temps que je l'invite à entrée, je cours sortir les plats du four, on a le temps de discuter, elle fuit mon regard, elle n'est pas confortable, elle est en manque d'attention, en manque d'amour, j'ai l'impression d'être sur le bord de la ramasser à la petite cuillière, je la prends dans mes bras, je lui dit que tout va bien aller, que si elle stress trop, je peux l'accueillir chez moi, il peut bien dormir sur le divan pendant qu'on partage le lit. Je réussis à la faire sourrire, je suis contente de la voir rire, je l'invite à passée à table, j'ouvre une bouteille de vin, même si ce n'est pas bon pour les bébés, on en a besoin plus qu'on pense. Sans éxagération, un verre chacun, on passe au souper, on parle contre mon fiancé, c'est dur pour moi et elle, c'est dur pour lui, mais il n'est pas là. Je m'ennui et je m'inquiète, il ne répond pas à son cellulaire, je stress, je lui demande de restée avec moi encore un moment... Qu'est-ce qui ce passe?..

.(Je)

Je me lance dans la voiture accidentée, je fais tout mon possible pour sortir la jeune fille, je sens la chaleur me lecher le visage... Qu'est-ce qui ce passe?

BOOM!
Jvous fait peur han?

~Dragow, qui ramène un peu de chaleur à son histoire~

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