mercredi 5 janvier 2011

Blog

http://lexxolexx.blogspot.com

voici un blog qui devrait être lu.

Voyons voir ce que ça donne

et meow!

Dragow

lundi 20 septembre 2010

Le dernier message

J'ai aucune vrai bonne raison de ne pas vous avoir écrit dernièrement, j'ai perdu beaucoup de temps à essayer de profiter d'une vie qui ne m'allait pas bien. Comment dire, j'ai cru bon vouloir faire boulot, métro, dodo, sans extérioriser l'écrivain en moi une fois de temps en temps. On passe à travers des temps difficiles, sans jamais vraiment comprendre ce qui ce passe. Le Québec se transforme tranquillement en mon pire cauchemar, nous devenons... Canadians.*Gulps*. Je crois que pour me remettre dans le bain je ne vais pas écrire un autre moment de l'histoire de Je et Tu, même si ce blog y était entièrement consacré. Je vous lance devant les yeux quelque chose qui va simplement sortir de ma tête. Ceux qui ne connaissent pas mon ancien blog, je vous invite à découvrir cela, l'adresse se trouvera à la fin de ce billet ou dans les commentaires. Donc je vais vous parler un peu du vomi créatif, ou du vomi par écrit. Pas super intéressant vous allez me dire, mais c'est comme cela que je nomme ce processus créatif, je n'ai ni point de départ, ni but, je fais juste écrire ligne par ligne ce qui sort de ma tête dans un sens plus ou moins ordonné. Voyons voir si les gens vont aimer.

*Mets en route la musique*

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Une pluie battante frappe mon visage, ça fait longtemps que j'ai vu le soleil. La Terre est tranquillement noyé de cette eau qui tombe du ciel, comme si tout cela arrivait de nulle part. Je me rappel des derniers instants avec toi, la vie consumait tranquillement l'ardeur qui nous prenait l'un à l'autre. Je me rappel d'une étreinte particulièrement savoureuse, ce jour de printemps, on s'était laissé l'un à l'autre dans ce parc, on se découvrait complètement, on savourait chaque secondes que l'on passait ensemble, je courrait pour venir te rejoindre, je serais resté à tes côtés le plus longtemps possible, mais les temps change, on se consumait, on se consommait, je ne sait pas trop comment le dire, mais nous nous épuisions à plaire à l'autre. Le message du cœur n'était que trop fort, trop rapide, trop intense. Nous aurions probablement du nous arrêté à un moment ou à un autre mais nous voulions nous aimer à un point tel que nous nous sommes tranquillement perdu. Je suis sûr que je t'aime encore, même si plusieurs fois nous avons vu passer ces hivers quelque fois interminables. J'ai tranquillement vu mon monde se dessécher par tout ces feux qui explosait à gauche et à droite de mon esprit, je ne me rappelle plus vraiment ce qui c'est passé. Mais maintenant, dans mon esprit, il pleut à noyer des continents. Cette pluie battante à mon visage, m'empêche de voir le véritable soleil qui est dehors. Je t'ai regardé partir, loin. Je...

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Bon c'est sûr que les gens qui vont lire ça vont me dire que je suis déprimé, je crois que je vais recommencer avec quelque chose d'autre.

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La chanson qui traverse cette forêt m'émerveille, je ne suis peut-être qu'un jeune aventurier mais j'ai vu des choses qui ne peuvent être effacé. Le premier monstre que j'ai affronté, ma première victoire contre mon grand-père aux échecs, mes premiers vœux pour devenir chevalier. Cette chanson me rappelle tout cela, elle me rappelle aussi la douce odeur de tabac qui envahissait la maison de mes grand-parents, la première fois que ma mère m'as pris dans ces bras après mon retour de la guerre, le premier baiser de cette fille dans la grange. Je décide de m'y rapprocher, je marche tranquillement en me laissant guider par le son, je ne vois aux loin que des arbres et des arbustes, les animaux semble avoir quitter les pâturages de notre village, tout ce qui reste, c'est moi et la musicienne, je suis sûr que c'est une femme, un homme n'atteindrait pas mon cœur avec autant de précision. Je marche toujours aussi tranquillement, de peur de l'effrayer, je m'avance, je vois sur mon chemin des pièces de vêtements féminins qui jonchent le sol. Je ne peux que m'imaginer le mieux et qu'elle est des vêtements de rechange. Cette pensée me fait rougir doucement les joues, je continu d'avancer. Le tout semble se passer si lentement, les mémoires que tu fais resurgir semble si réel quelque fois, j'arrive même à sentir le parfum de ma maison d'enfance, je dois y arriver, je dois te rencontrer, j'empresse le pas. Une minuscule clairière me laisse découvrir ta personne, assise sur un tronc, accoutrées de presque rien, on dirait une chemise de nuit mais verte forêt. Tu semble te dissimuler à travers les broussailles. Tu entrecroises mes yeux, tu réagis vite et va te recouvrir derrière un arbre, surprise de ma présence. Tes cheveux entre le blond et le feu, me font remettre en question ma vie. Et d'une voix charmante, tu me fredonne une demande que je n'ai pu te refuser, je me tourne pour te laisser te rhabiller. Tu me donne ton nom, je t'échange le mien, je me rapproche à tes paroles, tu me joue de la musique à ma demande. Je te fredonne une chanson d'accompagnement, que tu trouve ludique et finalement lubrique. Je t'avoue mes pensées, tu m'ordonne de me rapprocher, je te veux pour toujours, tu me suis dans mon rêve. Je souhaite ne jamais me réveiller.

"Lexxior, Capitaine de l'ordre de Lancelot"
"Extrait du livre "Pensées et rêves de jeunesse""

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J'espère que les gens vont préférés le deuxième. Je sais que j'ai beaucoup perdu de mon orthographes que je trouvais déjà à l'origine pas très jolie, j'avais même une correctrice dans les débuts. Je crois que je n'ai plus vraiment grand chose à dire.

Voici donc quelque chose qui vont vous mettre un peu dans le bain de ma vie:
Bonne nuit papy, repose en paix dans ton dernier lit.
Je t'aime mini-Isabelle.
J'ai une liste d'amis écourtés ces temps-ci, mais je ne m'en fais pas trop.
Je vieilli tranquillement mais ça ne me fait pas peur.

P.S: J'ai beaucoup de difficulté à extérioriser mes sentiments, j'ai peur de faire peur aux gens que j'aime, j'aimerais pouvoir dire toutes les raisons qui me poussent à mes agissements, mais j'ai peur que vous pensiez que ce soit des excuses. J'ai lu deux fois l'éloge funèbre que j'avais écrit pour mon grand-père, mais j'ai encore beaucoup de difficulté. J'ai presque pas pleuré, je voulais être grand et fort devant les gens que j'aime le plus au monde, ma sœur, ma mère, mon père et ma copine, et je trouve ça pénible me plaindre sur ce qui me tiens vraiment à cœur, je préfère avoir l'air niais quelque fois en disant que je me suis fais un bobo sur le doigt, mais j'ai encore beaucoup de difficulté à faire mon deuil. J'aimerais briser le masque que j'ai au visage... J'annonce nulle part que je fais une mise à jour de mon blogue. Je crois que je veux juste extérioriser ce qui est en moi présentement. Retourner à un Dragow plus paisible. Je vous aimes tous très fort, même si je m'exprime pas beaucoup.

Dragow

Chanson: Playlist de Crystal Castles

Adresse: Skyblog de Dragonor

Merci encore une fois

mercredi 7 avril 2010

Une tournure réciproque

J'ai jamais vraiment compris le sentiment humain, simple passage à travers les feux de la vie? Où réelement un message que ton être veut donner. Quelques mois on passés depuis mon annonce que je fermais le blog, mais je crois que tout doit se travailler et que je ne devrais rien abandonner...

Chapitre dernier - Une mort sans suie -

.(Je)

Une cascade de lumière. Le Bien avec un grand b me laisse en surface d'un lac sans vibration. Ce rêve je l'ai fait mille fois, je le connais sous toutes ces coutures, depuis que je suis sortit de ce coma je ne vois plus les choses de la même façon, je me détache complètement de ce qui m'entoure. Ce n'est ni une bonne nouvelle, ni une façon de faire. Depuis la nuit fatidique qui a régné sur ma vie, où je l'ai rencontrée, chaque seconde semblait si bien planifiée, si irréelle. Mon enfant est né, je travail dur et fort, j'habite dans un appartement si confortable mais il me manque quelque chose, cette sensation que j'ai eu quand je me suis lancé sous cette voiture, l'adrénaline qui me tapait les tempes, je ne me sens pas à l'aise. Je me sens tranquillement sombré dans la colère et l'impatience, moi qui suit d'un naturel doux et calme... La vie me fait perdre le souffle. J'ouvre les yeux, le rêve s'estompe, je dois me réveiller de ma vie créer artificiellement, je veux renaître, je veux me faire pardonner. . . Quelqu'un... n'importe qui... aidez-moi.

.(Tu)

Je n'ose pas trop en parler, il s'emporte rapidement, il ne voit plus très clair, j'essaye tout de même de le calmer, je ne peux pas lui offrir grand chose, à part l'affection que je lui apporte. Sa mère me dit souvent qu'un câlin arrange bien les choses, est-ce qu'il doit garder les yeux ouvert, est-ce que je dois le pousser dans une direction ou finalement lui dire de prendre soin de lui, qu'il s'aide finalement un peu, devrais-je tenter de le comprendre, au lieu de la connaître. Je vois en lui celui qu'il était avant, l'homme qui m'a fait chavirer. Je me rends compte que cet homme est absent, il m'aime comme un fou, notre enfant est son Saint-Graal, je n'ai pas besoin qu'il se pousse à la folie, seulement qu'il comprenne qu'avancer ça se fait à deux... On ne parle plus beaucoup et quand je lui parle, je remarque que c'est pour finalement lui demander de changer, d'arrêter d'être ce qu'il devient, est-ce qu'on pourrait y arriver?.. Ensemble?

.(Elle)

J'ai été à l'attaque! Ou peut-être trop à la défensive, je ne vois pas le pourquoi de sa réaction, il était tellement plus relax avant. Je me refuse qu'il me parle sur ce ton là. J'ai tellement mal au ventre... Non... Pas déjà...

.(L')

Un autre qui perd une vie, ce jeu est tellement facile, je m'amuse tellement maintenant, je n'y pense plus, je m'en fou complètement, laissé moi tranquille. Encore hier j'ai sursauté quand les témoins de Jéhovah ont cogné à ma porte, je veux qu'on me laisse tranquille, ça doit se sentir... Ils sont même partit en s'excusant... Je dois être folle.

Je crois que c'est tout, comme vous pouvez le constater, c'est le chapitre dernier... Il faut bien comprendre que c'est la fin du premier mini-roman, d'autre vont suivre j'espère. Je dois, bien avant que quoi que ce soit d'autre, de profiter de ce qui m'arrive, de ma nouvelle vie, un peu de travail sur moi-même. OH! En passant, on est passé le huitième mois après la naissance du bébé, je crois que ça fait du sens, je voulais pas éternisé ce sujet là, pas qu'il n'est pas intéressant, mais bien parce que le cheminement ne passait pas par là.

Pour les gens qui me lisent, mon blog reste avant tout un exutoire à mes pensées, j'écris pour me libérer le cerveau. Profitez pendant que ça passe. L'apostrophe devient de plus en plus dur à suivre, moi-même j'ai un peu de difficulté :P.

Alors à vous cher lecteurs et lectrices, j'espère que vous avez passé un bon week-end pascal, on se revoit à la prochaine mise à jour.

lundi 14 décembre 2009

Dans un élan de sentiment

Fermeture de ce blog, pour des raisons personnel.

Je suis désolé.

jeudi 2 juillet 2009

Sad Song de Oasis

*Cough**cough*, c'est pénible les allergies, j'ai les yeux boursoufflés et j'arrête plus de tousser... C'est la merde... Bon! On vient de passer à travers la journée du Canada, j'ai écouté un discours assé emmerdant de notre premier ministre, au moins ma copine était là, j'ai pu survivre à travers ça! À part ça... bin... Je travaille super fort pour me bâtir mon petit avenir, GO MAGIKARP!(Oulala je me sens vieux tout d'un coup :P)

.(L')
Je ne ferai jamais d'erreur, tout ce qui me restera à accomplir... c'est tout! J'aurai l'impression de n'avoir jamais rien accompli. Alors les jours se rallongeront, je ne te verai presque plus, déjà, tu reprendra ta liberté, tu repartira avec elle, tu me laissera seule, ici, dans le vent le froid... Je ne mériterai pas ça.
"NON!"

Dans son appartement, une vitre se brisa sans raison ce jour là

.(Elle)
Déjà, aux nouvelles ils en parlent. Nous ne croyons pas vraiment que ça aurait pu arriver pendant notre vivant. Nous faisons quelques pas vers la cuisine, l'air vibre encore près de nous, ils sont arriver à Montréal, faisant vombrir notre air, je dépose une main sur mon ventre
"C'est bientôt mon tour"

Une lumière brilla pendant la nuit, sous sa couette...

.(Je)
J'ai passé quelque temps déjà pour comprendre, ça ne faisait pas si longtemps ça que je dormais. J'était assis derrière mon ordinateur, entrain d'écrire quelques lignes sur les évenements qui c'étaient passés dernièrement, et j'avais eu cette drôle de sensation... Comme si quelque chose était près de moi, entrain de me regarder.
"Je sais que tu es là..."

On ne retrouva jamais le chat depuis cette soirée là...

.(Tu)
Ils viennent de où? Comme si je connaissais l'endroit, comme si tout le monde connaissait l'endroit! Est-ce que je suis si stupide que ça? Ils m'intriguent, ils n'ont pas la même couleur que nous, ils n'ont pas les mêmes habitudes que nous... Je regarde, tranquillement ces petits cheveux blonds voleter, il sourit! C'est la première fois, il ouvre les yeux, j'ai vraiment l'impression qu'il me regarde...
"Viens voir, il sourit!!"

Et une fois de plus, la nuit fut courte pour eux deux...

Bon! Ayoye! Je crois que je vais arriver à quelque chose! Je vous avertis, mon but présentement est d'amener le bébé à l'âge de 14 ans le plus tôt possible! Donc, dans les prochains textes on va avoir le droit à un petit résumé de tout . J'ai déjà une bonne idées pour "une chaleur hallucinogène" ça consumme pas mal de mes inspirations!

Rahlala!
Je vous adore chers lecteur!
Je t'aime mon ange

~Dragow~
n'oubliez pas de sourire!

mercredi 24 juin 2009

La Basse-cour de Mes Aïeux

Et voilà le 24 juin est arrivé... C'est fou comment le temps passe vite vous trouvez pas? Bon, malgré la maigre demande que je remette à jour les aventures de Je et Tu, je le fais pareil. J'ai quelques idées que je devais de toute façon mettre sur papier numérique! Bon, qu'avez-vous ou qu'allez-vous faire pour la saint-Jean? moi, hier, j'ai été dans ma ville pour voir un spectacle d'un grand groupe folk qu'on connait bien et regarder des feux d'artifices. On a aussi eu le droit à des discours patriotique que les présidents de comités lugubres et le maire de ma ville avaient concocté juste pour nous... Terriblement passionnant... J'aime le Québec, j'aime ma patrie et mon patrimoine, tout mon entourage l'aime autant, ou presque, que moi et... Tout nos dirigeants, tout ceux qui disent être notre tête pensante... c'est tellement... tellement désolant de voir que pour eux le capitalisme égal le Québec... Mais bon, hey! J'ai passé une belle soirée avec mon meilleur ami et ma copine! Allez... place...

.(Je)
Une forêt dense, c'est ce dont je me rappelais. Une forêt qui changeait tout au long de ma promenade. J'avais l'impression d'avoir été arraché d'un monde, qui n'était pas si différent de ce qui nous entoure. L'infirmière était affolée près de moi, elle hurlait dans une langue que je comprenais pas, comme si elle ne mettait que des voyelles dans ces mots... Très étrange. Je n'avais pas eu le temps de rien dire et déjà un docteur c'était attaqué à mes yeux avec un faisceau de lumière blanchâtre, est-ce que vraiment je méritais ça? Je regardais alentours de moi, je cherchais celle que j'ai cherchée dans cette forêt, je regardais l'infirmière, je soulevais ma main gauche et hausse une épaule et je déposais ma main sur mon cœur... criant voulant savoir tout ce qui c'était passé. L'infirmière qui était tout à mon attention appuya sur un interrupteur près du lit et le visage de celle que j'aime apparu, un peu de côté, elle semblait tellement souffrir. L'écran lumineux qui flottait près de moi, me laissant voir le plus beau moment de ma vie, semblait..si fade, si inanimé.. Je tendais ma main vers l'écran, elle vibrait, tout ce que j'aurais fait pour pouvoir me mettre debout. Je repoussa le docteur avec l'autre bras, j'avançais mon torse vers l'écran, et tout d'un coup tu me regarda...
"-Chéri! AAH! Viens ici! On a besoin de toi!"

.(Tu)
Il s'est réveillé, mon amour est là... dépêche toi, j'ai tellement mal, j'étais si perdue sans toi. La femme qui s'occupe de moi me dit de me détendre, qu'il faut éviter les complications, que tout allait si bien se passé. Pourquoi je n'ai pas l'impression maintenant que c'est le plus beau moment de ma vie... ? Je pousse, ça tire, je crois même que ça déchire, mais tout ça me fait tellement mal, il faut que tout aille bien, dépêche toi, on dirait qu'il ne veut pas t'attendre.

.(L')
Je serai juste à l'extérieur de la chambre quand il va se réveiller, je serai là pour lui et pour elle. Encore une fois aujourd'hui j'aurai un mal de tête, tellement intense que je crois que la dernière fois j'en aurais fais tremblé les murs, qu'est-ce qui se passera? Plus rien sera sous notre contrôle, mais pourquoi. Je marcherai vers l'hopital, avec encore une fois la pluie qui battera mon visage. Je rentrerai dans sa chambre, l'aiderai avec sa chaise roulante et on ira voir son nouvel enfant. Est-ce que quelque chose pourrait mal se passer?

Le premier qui trouve les changements majeurs que j'ai fait en regardant mes textes gagnent... eee... un mot dans mon prochain billet :P. Bon, je vous dis comment ça va se passer, pour l'instant je vais essayer d'aligner un texte par semaine et, bon quelques-uns les savent déjà, je vais commencer un nouveau blog-histoire que j'appelerai, "Une chaleur hallucinogène", quelque chose de post-apocalyptique, centré dans l'univers québécois. J'espère que tout le monde va aimer ça, moi je vais préparer ma soirée pour la Saint-Jean.

Longue vie aux Patriotes!
Longue vie aux Québécois!
Le Québec est grand et fort!
Venez nous rejoindre, Montréal crit comme une femme qui veut son homme.

~Dragow~

dimanche 24 mai 2009

Quelques mois on passé

La neige a fondu, un nouvel amour est né...

J'ai pas arrêté d'écrire, je prenais juste tout mon temps pour bien finir mes dernières semaines de cours... Maintenant, je suis officiellement devenu soutien au réseau. Plus qu'à trouver un meilleur emploi que commis de dépanneur vous trouvez pas?

Les aventures de Je et Tu vont recommencer... d'ici la fin du mois de Juin, je vais me mettre des gros coups de pieds au derrière(ou ma copine va le faire) et je vais vous écrire une suite... Je va bien reprendre connaissance un jour :P.

Allé... je continu d'écrire, inquiéter vous pas. C'est bientôt fini l'attente.

mercredi 18 février 2009

Suspend

Je mets le blog en suspend pour une durée indéterminé...
Je vous reviens avec tout plus tard, pour les nouveaux qui arrivent, lisez du début, laissez-y vos commentaires, en attendant que je revienne=p.

~Dragow~

lundi 9 février 2009

Hooverphonic - Human Interest

Mon mp3 a brisé, maintenant j'écoute la radio... c'est assé bizzare comme ça, rajouter pas de commentaire sur le titre des billet... Vive le printemps, l'hiver sa me tape sur le système, c'est pas intéressant l'hiver si tu ne peux pas te battre dans la neige avec l'être aimée ^^. Bon, pour une raison très claire pour moi, je suis très heureux d'être dans ma peau depuis quelques jours. Disons que j'ai passé plus de temps à pensé qu'a croire... Si vous pouvez comprendre ... expliquez moi ce que je viens de dire...

.(Je)

La douleur c'est attenué, un homme portant un costume-cravate cendré c'est approché de moi, sortant de je ne sais où, il a commencé à me parler, il a tenté de me charmer à travers ces atours.
"Je ne peux vous gardez plus longtemps ici. Laissez moi vous présentez ce contrat, tout ce que vous avez à y faire, c'est de signer tout en bas pour rejoindre votre douce dans ce chateau au loin qui vous attends"

Le papier qu'il ma donné est chaud au touché, j'essaie de lire ce qu'il y est écrit mais l'écriture semble vouloir se battre ensemble, les voyelles contre les consonnes, rien n'est précis. Il me tends un stylo-bille, il relève un sourcil.
"Alors?"

Je dépose le crayon sur le papier, je roule celui-ci comme un parchemin, je le tends à ce que je considère être le démon, le remercie de l'intention. En me retournant, je le remercie d'avoir arrêté la douleur, je ne prendrai pas la voie de la facilité, mon amour pour toi est indestructible, chaque effort que je mets à venir te rejoindre ne peux que le rendre plus fort.

.(Tu)
J'ai tentée de te prendre la main avant qu'il ne m'expulse de la chambre, rien ne c'est produit comme il le faut. Je suis addossée au mur qui sépare le corridor de ta chambre, tout est si tranquille de ce côté, je laisse mon coeur pleurer, j'ai la tête enfoui entre mes genoux, je ne peux juste pas ignorer ce qui se passe.
"Ça va pas?"

Un jeune garçon c'est placé devant moi, les yeux grand ouverts rempli de compassion, je lui réponds que celui que j'aime essaye de rester en vie, dans un combat épique que juste lui pourrait accomplir.
"Et si vous pourriez l'aidez?"

Le garçon me demandait ces question si simples mais tellement lourdes, bien sùr je lui réponds que je pourrais tout faire pour lui.
"Même donné votre bébé?"

Je le regarde, les yeux ronds, je ne sais pas si je devrais être fachée ou surprise de la profondeur de ces propos, en toute insignifiance je lui réponds que sa ne se passe pas comme ça dans la vie, que tout arrive pour une raison.
"Vous ne répondez pas à ma question"

Que me veut-il? Je lui réponds que dans le choix, je sauverais l'homme que j'aime, mais que jamais je ne pourrais me départir de mon enfant.
"Bien alors, je vais rejoindre mon papa."

L'enfant, le sourire au lèvre, rentre dans la chambre voisine. Dès qu'il a tourné le coin, les docteurs ouvrent la porte, ils m'annoncent que tu va mieux, que le pire est passé.


Bon! une semaine de retard, je vais lancée la faute sur quelqu'un d'autre, mais je vais taire son nom, disons.. que j'ai l'esprit occupé ^^.

J'espère que la direction que l'histoire prends vous fait vibrer, moi je continue à travailler alors .

~Dragow~ Allé à plus!

lundi 2 février 2009

Swing life away de Rise Against

Je suis songeur, j'ai passé un autre excellent week-end, est-ce que j'ai fait exactement ce que je voulais? J'ai passé du temps de qualité, comme à tout les weekend, j'aime les amis qui m'entourent, j'aime rencontrer des nouveaux gens, je fais de bonnes et de mauvaises rencontre comme tout le monde, je redécouvre la société. J'ai toujours l'envi de sortir, ça va vraiment bien, Merci^^.

.(L')
Le lourd son que la porte a fait lorsqu'elle c'est fermé derrière moi, la lumière vibrante de ma salle de bain me donne un léger mal de tête, je prends le temps de voir ce qui est autour de moi, à quel point je laisse aller la saleté se répandre sur les murs de cette pièce en céramique. C'est tout petit, devant moi j'ai le mirroir contenant tout mes produits pharmaceutique, se résumant à un pot de Tylenol et un bâton d'antisudorifique, quand je referme le mirroir, je me regarde profondément dans les yeux, qui sont attaqué par les cernes, je me retourne face à mon bain, je me rappele de sa couleur blanche laiteuse qui m'avait fait vibrer la première fois que je l'ai vu, maintenant je me sens plongé dans un univers post-apocalyptique quand je le regarde, d'un ton de blanc, il est devenu d'un ton de brun, je me demande ce qui serait le plus simple, l'échanger pour un neuf ou le frotter... Je pars l'eau chaude, je mets le bouchon au fond, la chaine n'est plus accroché nulle part. Le fait d'habiter en haut d'un dépanneur à beaucoup d'avantage, en appelant le commis, j'ai fait monté une caisse de bière légère, un rasoir et un savon aux parfums fleuries. Le temps que mon bain se remplisse, le commis cogne à la porte, sans dire un mot je prends le sac qui pends au bout de son bras et je le renvois en bas. Je me dévêtie hâtivement, je pénètre dans l'eau trop chaude de ma baignoire, je laisse agir l'eau pendant un instant, je sors la barre de savon de sa prison de carton, encore une fois je me regarde à travers l'eau déjà grisonnante, parsemé de petits nuages blancs, je laisse le savon agir, je sors un des 4 rasoirs jetable que le petit commis m'as apporté. Je sens que je ne vais pas aimé la suite...

.(Je)

La lourdeur de tout ce qui m'entoure, je me sens oppressé par les arbres, ils veulent que je me couche et que je dorme, je veux toujours faire le prochain pas, je vais m'en sortir. "Mon amour". J'entends à travers les arbres une femme qui m'appelle, une voix qui me ferait dévié de mon chemin, qu'est-ce qui ce passe, est-ce que je vais voir? La simplicité, je sors du chemin sans vraiment le vouloir, je ne vois pas plus loin que tout à l'heure, mais au moins je peux suivre quelque chose... ou quelqu'un.

.(Tu)

On m'a amené d'urgence dans le couloir, j'ai entendu des BIP assourdissants, j'entends son corps frappé violement son matelas, le médecin est concentré au-dessus de lui, je ne veux pas te perdre. Sauvé-le.
.(Je)
Une petite clairière m'entoure, un rayon de lumière frappe le dos d'une femme voutée au-dessus du lit, je m'avance tranquillement. "Reviens mon amour" Mais c'est ce que je fais, je veux revenir. Une douleur envahi ma poitrine, je pose un genou sur le sol, main sur le coeur, j'aggripe le bas de la robe de cette femme. À mon étonnement, elle disparais en poussière, je ne peux plus reculer, je m'écrase sur le sol. Une voix derrière moi m'interpelle. "Besoin d'aide, mon garçon?"

Bon, je viens de recevoir mon travail que je dois complèter avant mercredi. 7 pages de pur plaisir, j'ai vraiment l'impression qu'on me prends pour un débile. Allé voir mon blog d'opinion, il devrait y avoir un autre article aujourd'hui.

~Dragow~ et si je te disais, je t'aime?