.(??)
Je l'ai vu apparaitre sur le bas de mon écran, l'endroit est sombre, je ne me rappelle plus vraiment de lui, la fumée qui m'entoure laisse transparaitre des murs moiteux et blanc, frigide, sans vie, qui me regarde fixement dans les yeux dès que j'ose détourner mon regard de mon écran scintillant. Je ne me rappelle plus avoir mangé un repas décent depuis un bon moment déjà, ni de m'être rasé ou même douché. Est-ce qu'on est le jour ou la nuit? Tout ce que j'entends à travers les petits hauts-parleurs, dissimulé dans mon casque d'écoute, est une musique barbaresque, qui rappelle un peu la lutte contre le pouvoir des industries musicales, on peut entendre un mélange de sons et de miasme transparaitre dans un rythme ressemblant aux battement fragile d'un coeur d'hirondelle. Sans battre des yeux, je peux me permettre d'écrire encore quelques lignes aux personnes qui sont virtuellement avec moi, je ne me sens plus en vie, virtuellement parlant. Je me permet de follatrer dans mes pensées, des pensées morbides et lugubres, qui me hurlent de sortir dehors, de profiter des neiges pendant qu'elles sont encore là, la canopée de nuages grisonants risquant à tout moment de me tomber dessus me dicte de rester chez moi et d'attendre, de patienter jusqu'au moment où je pourrai le rejoindre, lui, qui parmis tous, à réussi à poser pied dehors, sans jamais vraiment laisser transparaitre de faiblesse. Je ne l'envi pas, je ne lui en veux pas, ils nous a quitté pour un monde meilleur, nous n'avons plus qu'assister à une résurection, et comme le Christ, nous devrions peut-être le suivre, sans arrière-pensée capitaliste, vers un endroit plus clair, façoné pour l'homme d'aujourd'hui, cette homme qui malgré tout, ne sera jamais au même niveau que moi, adepte de la technologie, pourvoyeur de pixels avides de nouvelles couleurs, guetteur des passants qui tentent de prendre contrôle de ce cyber-paysage qu'est mon monde, qu'est notre simple univers. Je retourne tranquillement la chaise, bien enfoncé dans le dossier les bras sur chaque côté de mon corps dénudé manquant terriblement de passion et d'attention, je me permets de regarder vers l'extérieur, là, où je pourrai le revoir.
.(Je)
Tout au long du souper avec mes parents, j'ai ressenti un drôle de frissons parcourant mon échine, comme si quelque chose de bizzare allait encore arriver. Ça serait surement un autre plan de fou pour tenter de faire tomber ce que je construit. Le souper se passe plutôt bien, mes parents me disent à quels points ils sont fier de moi, je crois que ma mère va faire une grand-mère complètement gateau, et pas dans le mauvais sens. Mon père lui, va toujours afficher une image paternel quitte à dire fraternel envers moi, ma future épouse et mes enfants, sans vraiment comprendre pourquoi, je sens ce regard qui c'était posé si souvent sur moi de mauvaises façon, se transformer tranquillement en ceux d'un homme prêt à conquérir monts et vallées pour que sa famille puisse aller encore plus loin, qu'au moins son nom survive à lui-même. Je ne sais pas vraiment si mon père pourrait démontrer un plus grand bonheur que celui-ci, j'arrive presque avoir un sourrire franc et honnête. Ma mère tant qu'à elle semble à la fois soufflé par la nouvelle et excitée comme une gamine devant une nouvelle poupée barbie, sans être estomaqué elle pose mille-et-une question de femme à femme à toi qui est assise à côté de moi. Comme je le pensais, tu t'entends à merveille avec ma mère, sa me rends très heureux, j'imagine que tu a du ressentir sa aussi quand j'ai rencontré tes parents.
"Papa, Maman, Nous allons nous.. eeem... nous allons nous marrier"
La réaction à ma mère fut quasi instantanée, elle boursoufla de joie et laissa échapper un petit cri strident, court et trop long à la fois, gràce à elle et à ces commentaires, nous avons pu être applaudit par l'audience qui semblait bien apprécier leur repas eux aussi. Mon père avait gagné un sourrire niais cette fois-ci, et d'un amicale coup de poing sur mon épaules, il me dit ceci;
"J'espère que tu te trompe pas"
Sans avoir de réaction éxagéré comme ma mère, lui, malgré son air adorable qui n'arrivait pas à quitter son visage, dans ces paroles a semblé d'une monotonité incroyable. Je sais que dans son fond lui il sait que je t'ai dans la peau.
Bon, un peu psychédélique le début?
Un ajout d'un nouveau personnage, qui est c'est étrangé personnage nu, qui semble étrangement bien connaitre Je? C'est étrange n'est-ce pas, comment le mot étrange est étrangement trop utilisé...
Bon allé, je vous ai fait un beau cadeau là, non?
Dragow qui vous dit " même heure, même poste. Je sais pas trop quel jour..."
P.S: Toujours merci à Danika avec ces jolis Mortimers(quoique là c'est un peu tiré par les cheveux dire que c'Est du joyeux joyeux)
Heart-broken mortimers :(



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