mercredi 12 novembre 2008

You don't love me de Philosopher Kings

Bon et bien, merci à Danika pour cette nouvelle chanson que j'ajoute dans mon inventaire. Il est présentement 2h45 du matin en direct de mon ordinateur, je sais... je dois commencer à écrire plus tôt sinon mon cortex risque de fondre. Je travail très dur sur le problème, c'est pas évident de changer ces habitudes. Aujourd'hui j'ai fait un beau rêve éveillé, comme si tout allait mieux sans avoir besoin d'aller mieux, c'était bizarre. Bon, sans plus tardé, voici le 34 e texte des aventures de Je et Tu.

.(Je)
Je dépose une main sur la tienne, tu tremble, tu es effrayée par je ne sais quoi, tout ce qui arrive est si beau, si important à mes yeux. Ils nous regardent sourrire aux lèvres, nous pointant le moniteur, qu'est-ce que je devais remarquer? Soudainement je l'ai vu, l'étincelle vibrante, l'explosion sonique qui va bouleversé nos vies. Je dépose une main sur l'écran, je t'appelle en disant que c'est si beau, tu verse une larme, ils s'écartent de l'écran, je te pointe ce qui me fascine. Je m'approche de toi, je te souris, je t'envoi tout mon amour, je te prends dans mes bras, je ne peux pas vraiment me retenir. Je me vois, grand, important, avec mon enfant qui me regardent me démandant milles-et-une question. Je me vois plus tard... plus tard... c'est maintenant, est-ce que j'ai voulu vieillir trop vite? Le chemin du retour se passe sans anicroche, je ne crois pas que j'ai vraiment été présent mentalement, je ne voyais que le temps qui passait, tout ce que j'aurais voulu faire, je me vois creusé ma propre prison, mon propre "bunker". Je passais tranquillement la main dans tes cheveux à moitié coiffé, je glissais un innocent baisé dans ton cou, je passais l'autre main sur tes fesses rebondit tout en te rapprochant de moi d'une étreinte masculine, sa ne fait pas si longtemps que c'est mouvement nous étaient étrangé, que c'était encore notre première fois, bien que notre première fois ne m'est pas familière. Je sais que j'éxagère, mais pour l'instant, je me sens vieux, je sens ma liberté volé, je sens le stress, est-ce qu'on est vraiment prêt? J'ai travaillé fort et dur pour y arriver, pour t'assurer que tout va bien se passer, tout me rattrappe tranquillement. Je ne te laisse pas faire à souper, je t'accompagne dans un restaurant qu'un collègue de travail m'a conseillé. Au moins, ce soir, tu es à moi.

.(Tu)
Qu'est-ce qui ce passe? Tu semble nerveux, tu es inquiet, je peux le savoir maintenant, je peux voir ton sourcil gauche sautiller, tu te tracasse pour quelque chose, je ne peux pas le nier que je suis responsable de tout ça, je ne t'est qu'imposée ce que je voulais. Voyons voir ce que je peux faire pour te remercier de ce délicieux repas, déjà pendant le souper, sous la table, je jouais à chat avec ton molet, maintenant que tu t'es assis dans notre divan, je glisse mes mains dans tes cheveux, je te donne un baiser innocent dans le cou, je plonge ma main dans ta chemise, est-ce que tu veux être à moi, est-ce que je peux être à toi? Sans espèrer plus, tu m'aggripe le bras, tu le sors de ta chemise, tu te lève et tu t'agenouille dans le divan, tu me regarde dans les yeux, tu m'attrape ma main gauche, tu glisse une main dans mes cheveux, tu force ma tête vers tes lèvres, maintenant je me sens bien. Le téléphone sonne, encore au mauvais moment, je te laisse aller répondre tout en te suggèrant de venir finir cette conversation dans notre chambre. Je balance un soulier après l'autre dans le coin de la pièce, je me lance par en arrière, je me vois la première dans ton lit, mon sourrire gênée, mon action déniaisée, je m'étais collé à toi parce que c'est ce que je voulais, quand j'ai senti ta chaleur m'envahir, j'ai su que tu serais à moi pour le plus longtemps possible. Au moins, cette nuit, tu m'appartiens.

.(Je)
La nuit va être courte, au moins j'ai pu te rejoindre assé rapidement dans le lit, il ni avait plus rien qui comptait, il ni avait que toi et moi, je voulais profité de ces dernière journées, avant que l'on se réveille trop fatiguée, avant que le tout nous en demande trop, avant que nous devions nous éloigné un peu l'un de l'autre, qu'entre nous s'imisce nos enfants. La vie va être belle, mais faisons de cette nuit, celle qui scellera nos voeux.

OULA, il est 3h15! record! sa fait 30 min que j'ai commencé à écrire ce texte. Merci Dan, sans ta musique je serais pas arrivé à finir d'écrire sa aussi vite.

You don't love me like you use to do! Désolé, la chanson m'emporte, pourtant... le texte avait pas rapport à ça... preuve que j'écoute pas quand on me parle, même si le chanteur me le hurle dans les oreilles en répétion. Aujourd'hui j'ai décider que ma couleur c'était brun, je me sentait pas vraiment bien, même si un de mes meilleurs amis à passé l'après-midi et la soirée avec moi, j'imagine que ce n'était pas ça que j'ai de besoin, je pense à quelqu'un, c'est obsèdant, mais bon je vous casse assé les oreilles avec tout ça que vous commencez à le savoir. La rousse aux yeux vert dans de larges vêtements couché sur un divan de cuir passera son tour, cette fois-ci... c'est tout autre.

Dragow qui vous dit, Tchiao!

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Contente d'avoir pu t'aider avec mes trouvailles musicales!! Lâche pas c'est vraiment bien, j'suis fan!