mardi 18 novembre 2008

Levons notre verre à l'espoir!

Parfois, je me dis que les choses sont bien fait... pfou... je sais même avec quoi je veux en venir avec ça, mais bon, vous trouvez pas vous? Oui, on a souvent de mauvaises surprises, on a souvent la mine basse, mais, je m'attends toujours à ce que quelque chose au tournant me rappelle que je suis en vie. On a des amis, on a de la famille, on a l'amour, on a le travail, tout ça pour nous dire que quelque chose de bien peut nous arriver. (je m'en suis bien sortis non?)

.(Elle)

Je suis assise sur le bord de mon lit, songeuse. La vie est finalement bien faite, j'ai pu rencontrée les parents de Julien, je croyais faire face à mes démons, je pensais être seule face à eux avec leur regard accusateur, je croyais être la responsable de tout ça. Sa mère m'as prise dans ces bras, elle me disait qu'elle ne savais rien sur ma situation, qu'ils vont m'aider à passé à travers, avec le bébé, avec l'argent, avec tout ce qui pourrais empêcher le tout de bien aller. Une bonne nouvelle enfin, elle voulait que je garde l'enfant, je ne croyais pas être capable de l'abandonner de toute façon, je ne voyais pas ce qui m'aurait poussé à le quitter, je ne serai peut-être pas une mère digne de ce nom, mais je l'aimerai, je ne recommencerai pas les mêmes erreurs que j'ai fait avec le père. Au moins, je ne serai pas seule, il aura des bons grand-parents.

.(Tu)

Aujourd'hui je t'emmène voir mes parents, bien que je suis nerveuse, je ne pense pas qu'il ni aura de problèmes. Tu es beau, grand, intelligent et spirituel, mes parents vont t'adorer, je dépose une main sur la tienne, même si on voyage en autobus, sa ne m'empêche pas de dire que je t'aime et que je veux passer ma vie avec toi. Le voyage est long, je regarde dehors et le paysage blanc me rappel nos premiers rendez-vous, quand on allais se rejoindre au parc près de chez toi, j'avais les cheveux qui battait au vents, tu m'appelais ta lionne, tu le fais encore d'ailleurs, venant de toi ce n'était pas grave. Tu peux rire de moi, tu peux me pointer du doigt, au moins tu pense à moi. Tu déplace ta main, tu soulève ton bras, tu m'agrippe par le côté, tu me rapproche de toi, tu dépose ta main sur mon ventre, tu me regarde dans les yeux, tu m'avoue avec gène que tu es très nerveux, tu veux que je reste près de toi et tu te mets à répéter le moment où tu va être devant mes parents.
"Bonjour, je suis votre gendre, je suis impatient de vous rencontrez!"
Sa ne sonne pas très bien mais je te fais confiance, tout va bien allé. Je desserre mon foulard, je te donne un bisou sur la joue, je dépose ma tête sur ton torse rembourré par ton manteau.
"Enchanté, je suis heureux de vous rencontrez, votre fille est la femme de ma vie, je l'ai demandé en mariage et je l'ai mis enceinte. Ah non... je peux pas leur dire sa en me présentant..."
Je laisse glisser un rire, tu me regarde avec stupeur, tu en lève ton gant sur ta main libre, tu glisse ta main sur mon front, dans mes cheveux, dans mon cou et tu te décide à m'embrasser. Comment je ne pourrais pas t'aimer?

Court texte, je sais je sais. C'est pas bien?

700 visiteurs depuis la création, je me sens vraiment comblé, chaque semaine le compteur augmente, je vous remercie tous et toutes de me lire.

Maintenant, voyons voir ce qu'aujourd'hui à en réserve, j'ai bien hâte de commencer cette journée.

Dragow qui vous dit: " Je vous aimais, je vous adore, et je penserai à vous!"

2 commentaires:

Anonyme a dit…

ok là j'adore!! c'est vraiment génial le parrallèle de Elle qui rencontre ses ''beaux-parents'' et je qui fais la mm chose! Mais c'est encore trop court!!! J'en veux plus!! Et j'adore tes descriptions des petits gestes de je, on dirait que tu les vois tout les deux assis dans le bus à côté de toi, c'est vraiment réaliste. CONTINUE!!!

Isabelle

Dragow a dit…

t'inquiète pas, je vais continuer, merci de pointer ce que je fais ^^ Sa prouve que tu me lis vraiment :D

Dragow