mardi 7 octobre 2008

Falling away with you de Muse

Ouais, je sais, sa fait 2 fois en même pas 4 articles que c'est Muse qui joue dans mes oreilles, mais bon, j'aime sa bin l'air. J'ai juste vraiment rien fait aujourd'hui, j'ai fait mon gros ménage d'automne, sortit mes trucs chauds, laver mes DRAPS, j'adore tellement sa laver mes draps, y sentent tellemmmmeennntt bon après, miam miam, déjà avec la brise qu'apporte ma fenêtre je ressens déjà le confort total m'envahir, c'est plus attirant qu'une fille nue qui m'attends dans des draps sales... Ce qui me fait chier, c'est que vu qu'aujourd'hui il a pas fait beau, je voulais pas l'étendre dehors, fak je suis sur sur que c'est encore mouillé, parce que ma maudite sècheuse marche à moitié... Bon, j'aimerais dire de quoi: J'ai eu plein de visiteurs, bizzarement AUCUN commentaires, m'étonnerais que mes deux seuls commentateux viennent voir mon blogs 40 fois aujourd'hui, sa deviendrait obssessif leur affaires. Moral: laissé des comms ICI! (J'ai ajouté l'option de commenté anonymement pour les petit gênés =p)

Bon sa suffit les farces, vla mon texte d'aujourd'hui:

.(Je)
J'ai su par l'autre fille, qu'il était finalement sortit de l'hopital, que son procès avait finalement très bien été, je suis heureux que tout aille pour le mieux. Sa fait maintenant deux mois qu'on est ensemble, qu'on passe le plus clair de notre temps ensemble, je crois qu'il est temps que l'on se parle, je veux te faire à manger tout les jours, je veux me réveiller chaque matin en t'aillant à mes côtés, ma vie est tellement rendu spéciale depuis que tu es là. On doit se rencontrer à l'ile, je veux te rejoindre le plus vite possible, je pars maintenant, quelques heures en avance. Je ne tient plus en place. Je m'assois sur le rebord du mur en brique à moitié détruit, tranquillement je t'attends, je rêve à toi. Les minutes passent, suivit des heures, je t'attends, dépèche toi. J'ai acheté une jolie pivoine, rose, bondé de pétales, la fleuriste m'a tout expliqué sur sa signification, je veux tellement que tu la voie, elle transpire encore des goutes de rosée. Personne à l'horizon, à part les touristes qui visitent notre petite banlieue, les mères avec leurs enfants, les jeunes couples qui dévoilent leur amour à tous. Le soleil se couche tranquillement, tu dois avoir oublié, j'espère que tout va bien. Je me penche et j'écarte la terre derrière le mur de brique et je plante la pivoine, je sais qu'elle ne survivra pas, mais au moins elle resteras là, à t'attendre. Je me dirige tranquillement vers l'arrêt d'autobus qui va me ramener chez moi. Je monte et je te dis à la prochaine, mon amour.

.(Tu)
Je suis en retard, trop en retard, je n'ai pas réussi à te rejoindre, j'espère que tu es encore là, je sonne la cloche pour atteindre l'arrêt le plus près de notre rendez-vous, tu n'y est plus, j'espère que tu ne m'as pas attendu trop longtemps, je décide de reprendre l'autobus vers chez toi, je veux te voir, je dois te demander quelque chose, je dois savoir, je dois t'aimer. À mes pieds, une fleur à été plantée, je la cueuille, je la dépose dans mon sac. L'autobus arrive, je pars vers chez toi. Quelques minutes plus tard, je cogne à ta fenêtre, j'attends sur ton porche, tu n'est toujours pas là. Je laisse la pivoine sur le pas de ta porte, je vais t'attendre chez moi.

.(Je)
Je reviens tranquillement chez moi, j'avais besoin de marché un peu, au loin, je vois quelqu'un qui marche, la nuit est déjà avancée, j'espère quand même que ce soit toi. Plus je m'approche, plus la chance me sourit, j'appelle ton nom, tu relève la tête, je m'approche de toi, tu te fond dans mon manteau, tu pleure toute les larmes de ton corps, en confondant les excuses. Je ne sais pas quoi dire, je voulais tant te voir, je te prends dans mes bras, je glisse des mots d'amour à tes oreilles. Les pleurs arrêtent, tu me regarde dans les yeux, tu semble vouloir me dire quelque chose.

"Viens vivre avec moi... Aujourd'hui"

Je souris, comme-ci on avait pensé à la même chose, je ne peux pas vivre loin de toi plus longtemps, je t'embrasse et je te raccompagne chez moi. Au pied de ma porte, le pivoine rose attendait notre arrivée.

Et voilà pour l'avant dernier texte du premier chapitre. Bon, c'est un peu charier comme texte je sais, mais j'adore le style =p.

Concours visuel toujours là ^^

Je croyais pas vraiment me rendre jusque là, mais l'inspiration de Je, Tu, Elle et lui sont bien présente dans ma tête. Bon je fais sa court pour la fin de mon texte, je vais rejoindre mes draps qui sentent trop bon même si y sont un peu humide.

Dragow

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