Don't fear (the reaper) de Blue oyster cult

welcome everyone, il est 3h du mat et comme d'hab je commence à avoir de l'inspiration. Rien de neuf dans ma vie pour le moment, voyons voir... J'ai fait un souper horrible, vraiment, sa goutait juste rien, que de beaux macaronis de gaspiller. Bon, d'habitude mes talents de cuisinier sont assé bons, je sais faire plein de choses, disons que sa fait longtemps que j'ai dépassé le stade de faire des oeufs tournés sans briser le jaune =p. J'ai aussi arrangé un petit problème de routeur, mais bon, maintenant tout va pour le mieux! Ben... pour internet et tout la... sinon, je suis toujours en manque de calins féminin. Bon assé, voici mon texte d'aujourd'hui:

.(Je)
Tu me suis dans les corridors de l'hopital, je veux quitter l'endroit au plus vite, on a passé devant la porte de mon collègue de classe, on m'as dit qu'il dormait. Nous passons finalement les portes, le soleil se lève tranquillement, il se lève pour nous dire que la soirée est fini, que tout est derrière nous, finalement on peut être ensemble. Je t'invite à dormir chez moi, dans le sous-sol de mes parents, on devrait y être dans quelques instants, les autobus viennent de recommencer leur rondes, je te paie l'aller, comme sa nous y seront plus vite. Je veux seulement être avec toi, je veux partager un moment avec toi, je veux entrer dans tes rêves. Je connais ce chemin, j'ouvre un peu la fenêtre de notre transport, on peut voir le soleil miroiter sur la rivière, on peut voir la rivière couler rapidement dans le sens contraire de notre trajet, je te prends dans mes bras, je te rapproche doucement vers moi. Déjà on peut voir ma maison, on est presque arrivé. On entre sans faire un bruit, je te guide dans mon corridor sombre menant à ma chambre, tu ouvre la porte et tu rit en voyant le résultat de ces quelques jours passé sans y être vraiment entré. Mon ordinateur est clos, tu aggripe le téléphone pour appeler tes parents, même si il est très tôt ils semblent content que tout aille bien, tu leur dit que tu va passer la journée avec un ami, que tu sera là pour l'heure du souper. Je crois que le moment est venu pour nous de se coucher. La nuit a été très longue, maintenant tu t'allonge dans mon grand lit. Je vais à tes côtés sans me déshabiller, tu es si belle, je voudrait tellement que sa se soit passé autrement, tu te retourne vers moi, tu me regarde dans les yeux, tu glisses une main glacée sous mon chandail, tu t'approche tranquillement, tu me demande de te prendre dans mes bras, il a pas fallu beaucoup de temps pour que je t'enlace doucement.

.(Tu)
Je peux encore sentir le parfum que tu portait hier soir, sa me fait tournée la tête. Je me sens en sécurité avec toi, je m'assoie dans le lit, je te demande de t'assoir aussi. Je glisse mes mains sous ton chandail que j'enlève tranquillement, tu me regarde maladroitement, comme si tu étais mal à l'aise de la situation. Tu a l'air si innocent, je te dit que tout va bien, je retire mon chandail, je dégraffe mon soutien-gorge, nous enlevons nos pantalons, je te dit doucement à quel point je t'ai dans la peau, à quel point tu es beau avec ce regard innocent, on se couche finalement en cuillière, je te promets que la prochaine fois, ce sera tellement mieux.

.(Je)
Je ne veux pas que sa soit mieux, tout est parfait maintenant. Je te colle à moi, que tu remarque que nos coeurs battent encore à l'unisson. Je t'ai dans la peau...


Et voilà! Bon enfin une scène intéressante =p J'adore vraiment écrire les aventures de Je et Tu, pas parce que sa réflète ma vie, mais bien une infime partie de ma personnalité globale. Un grand tendre à la fois stupide et romantique.

Le concours visuel est toujours en vue pour le 2 novembre: heavenwar@hotmail.com

J'aime les calins, j'aime être touché, je ne sais pas quoi dire d'autre. La fille qui entre dans ma vie, doit être prête à sa, les dernières n'étaient pas frigide, loin de là, mais jamais elles ont pu accepter le fait que j'adore le contact. Si je suis en manque sa se voit, je pitonne devant mon pc.

Dragow